La Fabrique de la Cité et l’IPSOS ont présenté récemment les résultats de leur étude sur les attentes de Français en matière de mobilité bas-carbone. Plusieurs grands enseignements peuvent être tirés de cette enquête.
- La voiture reste le mode de transport privilégié des Français, principalement dans les zones périurbaines et rurales.
75 % des Français utilisent leur voiture pour leur déplacement du quotidien et ce chiffre monte à environ 90 % dans les petites villes et le périurbain. 44 % des Français recourent aux mobilités actives dans leur déplacement quotidien.
- Le coût de la mobilité est plus élevé dans les territoires éloignés dans centres
Les habitants des banlieues et des petites villes ont moins d’alternative à la voiture.
- Une volonté de réduire l’empreinte carbone de ses déplacements qui se heurte à la réalité
91% des Français déclarent qu’ils aimeraient pouvoir réduire l’impact écologique de leurs déplacements quotidiens. Toutefois, 73% des personnes interrogées jugent difficile, voire impossible, de réduire l’impact écologique de ces déplacements. Pour les Français les plus éloignés des centres urbains, d’autres solutions existent et suscitent un fort intérêt
Retrouvez l’ensemble de l’étude en cliquant ici .
APVF >> Communiqué complet
- La voiture reste le mode de transport privilégié des Français, principalement dans les zones périurbaines et rurales.
75 % des Français utilisent leur voiture pour leur déplacement du quotidien et ce chiffre monte à environ 90 % dans les petites villes et le périurbain. 44 % des Français recourent aux mobilités actives dans leur déplacement quotidien.
- Le coût de la mobilité est plus élevé dans les territoires éloignés dans centres
Les habitants des banlieues et des petites villes ont moins d’alternative à la voiture.
- Une volonté de réduire l’empreinte carbone de ses déplacements qui se heurte à la réalité
91% des Français déclarent qu’ils aimeraient pouvoir réduire l’impact écologique de leurs déplacements quotidiens. Toutefois, 73% des personnes interrogées jugent difficile, voire impossible, de réduire l’impact écologique de ces déplacements. Pour les Français les plus éloignés des centres urbains, d’autres solutions existent et suscitent un fort intérêt
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