Hasard du calendrier, au moment où l’association Avicenn publiait les résultats de ses tests sur la présence de nanoparticules dans divers produits de consommation , la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) faisait de même en revenant sur une campagne de contrôles menée en 2021. Son constat est tout aussi accablant
L’action des pouvoirs publics est en effet entravée car l’analyse des nanoparticules est complexe et les procédés ne font pas consensus : « L’absence de méthode d’analyse des nanomatériaux normalisée conduit à de nombreuses contestations de la part des opérateurs », expliquent les services des fraudes.
Au Sommaire :
- Impossible de garantir la sécurité des consommateurs
- Aveu d'échec
UFC Que Choisir >> Communiqué complet
L’action des pouvoirs publics est en effet entravée car l’analyse des nanoparticules est complexe et les procédés ne font pas consensus : « L’absence de méthode d’analyse des nanomatériaux normalisée conduit à de nombreuses contestations de la part des opérateurs », expliquent les services des fraudes.
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