En 2018 était signé l’accord New Deal entre le gouvernement, l’Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse) et les quatre opérateurs de téléphonie mobile afin de généraliser la 4G et d’accélérer la couverture mobile pour tous les Français sur l’ensemble du territoire.
Sept ans après, dans un communiqué de presse commun daté du 14 janvier 2025, le ministère chargé de l’Industrie et de l’Énergie, la Fédération française des télécoms et l’Arcep constatent que « ce programme de déploiement remplit son objectif de généralisation de la 4G et d’effacement des zones blanches de la téléphonie mobile sur l’ensemble du territoire. » Constat partagé par les élus de la montagne.
Aujourd’hui, la question de l’après New Deal mobile se pose. Les élus de la montagne ne seraient pas contre un New Deal mobile 2 en vue de parachever les déploiements, tout en conservant la même méthodologie grâce à laquelle les élus locaux sont au cœur du dispositif afin de mieux identifier les besoins sur leur territoire.
Source - ANEM
Sept ans après, dans un communiqué de presse commun daté du 14 janvier 2025, le ministère chargé de l’Industrie et de l’Énergie, la Fédération française des télécoms et l’Arcep constatent que « ce programme de déploiement remplit son objectif de généralisation de la 4G et d’effacement des zones blanches de la téléphonie mobile sur l’ensemble du territoire. » Constat partagé par les élus de la montagne.
Aujourd’hui, la question de l’après New Deal mobile se pose. Les élus de la montagne ne seraient pas contre un New Deal mobile 2 en vue de parachever les déploiements, tout en conservant la même méthodologie grâce à laquelle les élus locaux sont au cœur du dispositif afin de mieux identifier les besoins sur leur territoire.
Source - ANEM