La Défenseure des droits, Claire Hédon, rend public, un suivi des recommandations de son rapport « Les droits fondamentaux des personnes âgées accueillies en EHPAD », publié en mai 2021. Dix-huit mois plus tard, le bilan reste extrêmement préoccupant et les inquiétudes de la Défenseure des droits demeurent.
Alors même que les autorités publiques semblent avoir été sensibles aux constats et aux recommandations de la Défenseure des droits et s’être engagées à prendre des mesures, l’institution a reçu, depuis mai 2021, des réclamations confirmant le caractère systémique du problème de maltraitance envers les résidents au sein des EHPAD.
A ce jour, la réponse des pouvoirs publics n’est toujours pas à la hauteur des atteintes aux droits dénoncées. La Défenseure des droits tient cependant à saluer les initiatives qui se concrétisent au sein des régions et des départements.
Pour la Défenseure des droits, 5 actions capitales restent à mener, dans les plus brefs délais.
- L’urgence d’un ratio minimal d’encadrement
- Cesser les violations de la liberté d’aller et venir
- Mettre en place un dispositif de « vigilance médico-sociale » pour renforcer l’identification, le signalement et l’analyse des situations de maltraitance
- Clarifier et renforcer la politique nationale des contrôles
- Restaurer la confiance des résidents et de leurs familles
Défenseur Des Droits >> Communiqué complet
Alors même que les autorités publiques semblent avoir été sensibles aux constats et aux recommandations de la Défenseure des droits et s’être engagées à prendre des mesures, l’institution a reçu, depuis mai 2021, des réclamations confirmant le caractère systémique du problème de maltraitance envers les résidents au sein des EHPAD.
A ce jour, la réponse des pouvoirs publics n’est toujours pas à la hauteur des atteintes aux droits dénoncées. La Défenseure des droits tient cependant à saluer les initiatives qui se concrétisent au sein des régions et des départements.
Pour la Défenseure des droits, 5 actions capitales restent à mener, dans les plus brefs délais.
- L’urgence d’un ratio minimal d’encadrement
- Cesser les violations de la liberté d’aller et venir
- Mettre en place un dispositif de « vigilance médico-sociale » pour renforcer l’identification, le signalement et l’analyse des situations de maltraitance
- Clarifier et renforcer la politique nationale des contrôles
- Restaurer la confiance des résidents et de leurs familles
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