La branche de l’aide, de l’accompagnement, des soins et des services à domicile, dite « BAD », est le résultat, à la suite d’une injonction de l’État, du rapprochement de trois conventions collectives ayant vu le jour dans les années 1980 et 1990. Elle est également le fruit d’une histoire remontant à la fin de la seconde guerre mondiale qui a vu émerger et s’imposer quatre fédérations d’employeurs.
Cette étude réalisée dans le cadre de l’ANR Squapin revient sur cette histoire et sur le rôle, majeur et controversé, des pouvoirs publics dans la solvabilisation (limitée) de la demande, mais aussi dans l’inscription de l’aide à domicile dans le fourre-tout des services à la personne.
Cette branche, qui regroupe plus de 4 600 structures prestataires à but non lucratif, souffre structurellement de problèmes d’attractivité et de fidélisation, problèmes qui ne sont pas sans lien avec la faiblesse relative des financements publics, mais qui ne s’y résument pas.
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Cette étude réalisée dans le cadre de l’ANR Squapin revient sur cette histoire et sur le rôle, majeur et controversé, des pouvoirs publics dans la solvabilisation (limitée) de la demande, mais aussi dans l’inscription de l’aide à domicile dans le fourre-tout des services à la personne.
Cette branche, qui regroupe plus de 4 600 structures prestataires à but non lucratif, souffre structurellement de problèmes d’attractivité et de fidélisation, problèmes qui ne sont pas sans lien avec la faiblesse relative des financements publics, mais qui ne s’y résument pas.
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