Le bilan démographique national de l’Insee pour 2025 confirme une tendance persistante : la natalité est en baisse constante.
Dans ce contexte, la Cour des comptes, dans son rapport du 12 décembre 2024, rappelle l’importance du libre choix du mode de garde pour les parents et souligne le coût croissant de l’accueil collectif pour les finances publiques.
Alors même que l’accueil individuel chez un assistant maternel reste la solution la plus économique, une part grandissante des dépenses publiques reste orientée vers l’accueil collectif, plus onéreux pour la collectivité.
Dans son rapport, la Cour recommande une réorientation budgétaire pour atteindre un objectif de 200 000 nouvelles places d’accueil d’ici 2030, tout en assurant la viabilité financière du système. Dans cette perspective, le développement de l’accueil individuel limiterait à terme le risque d’une suroffre de structures collectives d’accueil, ainsi que d’une dérive des coûts pour les finances publiques, face à la poursuite inexorable de la baisse de la natalité.
Face à ce double défi budgétaire et démographique, les maires et décideurs publics locaux seront en première ligne pour accompagner les familles sur leurs territoires( Article 17 LOI n° 2023-1196 )
Alors que les décrets de cette loi sont toujours attendus et que les mécanismes de compensation financière de l’État ne sont pas encore connus, la Fepem reste vigilante et mobilisée, pour préserver l’accessibilité des parents particuliers employeurs au mode de garde de leur choix.
Sommaire
- La Fepem s’engage pour renforcer l’attractivité des métiers de la Petite enfance
- Les maisons d’assistants maternels (MAM) : une solution innovante et en plein essor
Source - FEPEM
Dans ce contexte, la Cour des comptes, dans son rapport du 12 décembre 2024, rappelle l’importance du libre choix du mode de garde pour les parents et souligne le coût croissant de l’accueil collectif pour les finances publiques.
Alors même que l’accueil individuel chez un assistant maternel reste la solution la plus économique, une part grandissante des dépenses publiques reste orientée vers l’accueil collectif, plus onéreux pour la collectivité.
Dans son rapport, la Cour recommande une réorientation budgétaire pour atteindre un objectif de 200 000 nouvelles places d’accueil d’ici 2030, tout en assurant la viabilité financière du système. Dans cette perspective, le développement de l’accueil individuel limiterait à terme le risque d’une suroffre de structures collectives d’accueil, ainsi que d’une dérive des coûts pour les finances publiques, face à la poursuite inexorable de la baisse de la natalité.
Face à ce double défi budgétaire et démographique, les maires et décideurs publics locaux seront en première ligne pour accompagner les familles sur leurs territoires( Article 17 LOI n° 2023-1196 )
Alors que les décrets de cette loi sont toujours attendus et que les mécanismes de compensation financière de l’État ne sont pas encore connus, la Fepem reste vigilante et mobilisée, pour préserver l’accessibilité des parents particuliers employeurs au mode de garde de leur choix.
Sommaire
- La Fepem s’engage pour renforcer l’attractivité des métiers de la Petite enfance
- Les maisons d’assistants maternels (MAM) : une solution innovante et en plein essor
Source - FEPEM