Avec 3 à 4 % de part modale vélo, la France est en queue de peloton de l’Europe pour laquelle la moyenne est estimée à 7% et loin derrière l’Allemagne (11%) ou la Belgique (12%), sans compter les Pays-Bas à 27%. Le potentiel pour redéployer largement le vélo apparaît donc énorme.
Et c’est bien le cas, avec 55% des déplacements en voiture qui font moins de 8 km, soit 30 minutes à vélo, dans les unités urbaines de plus de 200 000 habitants comme dans celles de moins de 200 000
Alors comment faire ?
Il faut continuer à déployer des politiques cyclables avec toutes les parties prenantes, dans la durée et sur tous les territoires pour lever les freins physiques et psychologiques. Au niveau national, c’est le plan vélo et marche 2023-2027 annoncé en septembre 2022 par la Première ministre et concrétisé par un premier comité interministériel le 5 mai, qui a annoncé une série de mesures à hauteur de 2 milliards d’euros.
Avec tous les cobénéfices du vélo et de la marche, comment ne pas penser que les mobilités actives sont un bout de la solution.
Mais rien ne se fera sans une mobilisation dans la durée des élus et pouvoirs publics à toutes les échelles, des associations d’usagers, des acteurs de l’aménagement et de la route, des professionnels du vélo et du tourisme, mais aussi des acteurs de la santé ou de l’éducation, des employeurs et bien d’autres, pour mettre le vélo et la marche dans notre quotidien.
IDRRIM >> Communiqué complet
Et c’est bien le cas, avec 55% des déplacements en voiture qui font moins de 8 km, soit 30 minutes à vélo, dans les unités urbaines de plus de 200 000 habitants comme dans celles de moins de 200 000
Alors comment faire ?
Il faut continuer à déployer des politiques cyclables avec toutes les parties prenantes, dans la durée et sur tous les territoires pour lever les freins physiques et psychologiques. Au niveau national, c’est le plan vélo et marche 2023-2027 annoncé en septembre 2022 par la Première ministre et concrétisé par un premier comité interministériel le 5 mai, qui a annoncé une série de mesures à hauteur de 2 milliards d’euros.
Avec tous les cobénéfices du vélo et de la marche, comment ne pas penser que les mobilités actives sont un bout de la solution.
Mais rien ne se fera sans une mobilisation dans la durée des élus et pouvoirs publics à toutes les échelles, des associations d’usagers, des acteurs de l’aménagement et de la route, des professionnels du vélo et du tourisme, mais aussi des acteurs de la santé ou de l’éducation, des employeurs et bien d’autres, pour mettre le vélo et la marche dans notre quotidien.
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