Une étude réalisée par l’IFOP pour l’Association Nationale des Elus de la Montagne.
1. A l’évocation de la vie en montagne, les Français affichent spontanément des sentiments positifs, pour la plupart liés aux grands espaces. (…) Au total, 60% des Français évoquent l’environnement lorsqu’on leur parle de la vie en montagne.
2. A ces évocations spontanées positives s’ajoutent des perceptions très favorables quant à la richesse que représentent les territoires de montagne. Pour autant, cette question révèle une ambivalence que les pouvoirs publics devront méditer, à savoir une insuffisance de valorisation de ces territoires et la sous-estimation des difficultés des habitants….
3. En effet, malgré une perception très positive de la vie en montagne, les Français se révèlent conscients des contraintes inhérentes à cette situation (…) . On observe cependant que cette perception varie beaucoup en fonction du niveau de fréquentation de la montagne…
4. Dans le détail, si les Français considèrent que la qualité de l’environnement et du cadre de vie sont meilleurs en montagne (84%), leur jugement est plus pessimiste sur d’autres dimensions et traduisent une appréhension de l’isolement prêté aux territoires de montagne, en particulier concernant l’accès aux soins (moins bon pour 77%) et aux services publics (75%).
5. Enfin, en corollaire des précédentes observations, la perception des Français se révèle ambivalente concernant l’action publique relative aux territoires de montagne (…) Chez les personnes résidant en département de montagne, on observe d’ailleurs un moindre niveau de confiance dans les intentions des pouvoirs publics (51%) ou de reconnaissance de leur action (31%). De même, l’impact prêté à nouvelle loi montagne sur la qualité de vie dans ces territoires s’avère tout à fait mesuré, d’autant que pour chaque dimension testée, environ la moitié des Français déclare ne pas en savoir assez pour se prononcer.
Au final, si pour 37% (contre 16% estimant le contraire) la nouvelle loi montagne va améliorer durablement la qualité de l’environnement et du cadre de vie, seuls 21% (contre 28%) croient que cela aura une influence bénéfique sur le coût de la vie en montagne.
ANEM-IFOP - 2017- 01-24
Lire le dossier PLM consacré au sondage
1. A l’évocation de la vie en montagne, les Français affichent spontanément des sentiments positifs, pour la plupart liés aux grands espaces. (…) Au total, 60% des Français évoquent l’environnement lorsqu’on leur parle de la vie en montagne.
2. A ces évocations spontanées positives s’ajoutent des perceptions très favorables quant à la richesse que représentent les territoires de montagne. Pour autant, cette question révèle une ambivalence que les pouvoirs publics devront méditer, à savoir une insuffisance de valorisation de ces territoires et la sous-estimation des difficultés des habitants….
3. En effet, malgré une perception très positive de la vie en montagne, les Français se révèlent conscients des contraintes inhérentes à cette situation (…) . On observe cependant que cette perception varie beaucoup en fonction du niveau de fréquentation de la montagne…
4. Dans le détail, si les Français considèrent que la qualité de l’environnement et du cadre de vie sont meilleurs en montagne (84%), leur jugement est plus pessimiste sur d’autres dimensions et traduisent une appréhension de l’isolement prêté aux territoires de montagne, en particulier concernant l’accès aux soins (moins bon pour 77%) et aux services publics (75%).
5. Enfin, en corollaire des précédentes observations, la perception des Français se révèle ambivalente concernant l’action publique relative aux territoires de montagne (…) Chez les personnes résidant en département de montagne, on observe d’ailleurs un moindre niveau de confiance dans les intentions des pouvoirs publics (51%) ou de reconnaissance de leur action (31%). De même, l’impact prêté à nouvelle loi montagne sur la qualité de vie dans ces territoires s’avère tout à fait mesuré, d’autant que pour chaque dimension testée, environ la moitié des Français déclare ne pas en savoir assez pour se prononcer.
Au final, si pour 37% (contre 16% estimant le contraire) la nouvelle loi montagne va améliorer durablement la qualité de l’environnement et du cadre de vie, seuls 21% (contre 28%) croient que cela aura une influence bénéfique sur le coût de la vie en montagne.
ANEM-IFOP - 2017- 01-24
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