Tribune transpartisane de l’ANEM, signée par 213 élus de montagne représentant l’ensemble des massifs français parue dimanche 17 novembre dans la Tribune
" ...Du fait de ces spécificités géographiques, climatiques et socio-économiques, les territoires de montagne nécessitent des mesures adaptées, notamment en matière de développement économique, d’accessibilité, d’aménagement du territoire et d’organisation administrative pour permettre aux habitants de continuer à y vivre.
Or, bien que le droit à la différenciation soit reconnu dès 1985 par la loi Montagne, première loi à s’appliquer à un espace géographique identifié, la spécificité de nos territoires reste difficile à faire reconnaître par les instances gouvernementales et administratives, ce qui rend toute application différenciée encore plus difficile à faire valoir...
...Enfin, le manque d’outils à la main des élus est prégnant et les contraint dans leur capacité à agir sur leurs territoires et à mettre en place des mesures adaptées à leurs spécificités locales. Faute de moyens et d’approches adaptés, la montagne se retrouve trop souvent diluée dans la ruralité au moment de l’élaboration des politiques publiques ou dans la mise en œuvre des programmes gouvernementaux.
Nous, élus de la montagne, demandons que soit prise en considération la singularité des territoires de montagne dans la conception et la mise en œuvre des politiques publiques nationales..."
Source - ANEM
" ...Du fait de ces spécificités géographiques, climatiques et socio-économiques, les territoires de montagne nécessitent des mesures adaptées, notamment en matière de développement économique, d’accessibilité, d’aménagement du territoire et d’organisation administrative pour permettre aux habitants de continuer à y vivre.
Or, bien que le droit à la différenciation soit reconnu dès 1985 par la loi Montagne, première loi à s’appliquer à un espace géographique identifié, la spécificité de nos territoires reste difficile à faire reconnaître par les instances gouvernementales et administratives, ce qui rend toute application différenciée encore plus difficile à faire valoir...
...Enfin, le manque d’outils à la main des élus est prégnant et les contraint dans leur capacité à agir sur leurs territoires et à mettre en place des mesures adaptées à leurs spécificités locales. Faute de moyens et d’approches adaptés, la montagne se retrouve trop souvent diluée dans la ruralité au moment de l’élaboration des politiques publiques ou dans la mise en œuvre des programmes gouvernementaux.
Nous, élus de la montagne, demandons que soit prise en considération la singularité des territoires de montagne dans la conception et la mise en œuvre des politiques publiques nationales..."
Source - ANEM