Le contexte politique et institutionnel n’a jamais été aussi imprévisible, avec une procédure budgétaire tout à fait inédite, dans ses modalités et sa temporalité. Les collectivités, qui doivent voter leur budget dans les temps, ont besoin de visibilité.
Le webinaire du 21 janvier, animé par Loïc Hervé, Président délégué de l’APVF, Vice-président du Sénat et Luc Alain Vervisch, Directeur des études de La Banque postale, a levé un certain nombre d’incertitudes.
Après avoir explicité le contexte et la procédure budgétaire aux 200 participants, Loïc Hervé s’est félicité de l’abaissement de 5 milliards à 2,2 milliards d’euros de l’effort demandé aux collectivités territoriales, tout en insistant sur le fait que l’effort est en réalité bien supérieur : la hausse de 12 points des cotisations des employeurs à la CNRCAL pourrait coûter 1,3 milliards d’euros à l’ensemble des petites villes, la baisse de 200 millions d’euros de la DRCTP du bloc communal, que de nombreuses petites villes perçoivent encore, la fonte des crédits Fonds vert et d’autres crédits d’investissement, dont les versements sont retardés…
A noter que les petites villes sont désormais concernées par le « dispositif de lissage conjoncturel », alors qu’elles étaient exclues jusqu’ici.
Luc Alain Vervisch s’est attelé ensuite à présenter dans le détail un ensemble de mesures, dont certaines s’appliquent par application de la loi de finances de l’année précédente, ou encore de la loi spéciale, et d’autres, « probables », sont contenues dans le PLF 2025 en cours d’examen.
- Retrouvez le Regard financier sur les petites villes de Juin 2024 en cliquant ici .
- Retrouvez le D.O.B. en instantané de La Banque postale de Janvier 2025 en cliquant ici .
Source - APVF
Le webinaire du 21 janvier, animé par Loïc Hervé, Président délégué de l’APVF, Vice-président du Sénat et Luc Alain Vervisch, Directeur des études de La Banque postale, a levé un certain nombre d’incertitudes.
Après avoir explicité le contexte et la procédure budgétaire aux 200 participants, Loïc Hervé s’est félicité de l’abaissement de 5 milliards à 2,2 milliards d’euros de l’effort demandé aux collectivités territoriales, tout en insistant sur le fait que l’effort est en réalité bien supérieur : la hausse de 12 points des cotisations des employeurs à la CNRCAL pourrait coûter 1,3 milliards d’euros à l’ensemble des petites villes, la baisse de 200 millions d’euros de la DRCTP du bloc communal, que de nombreuses petites villes perçoivent encore, la fonte des crédits Fonds vert et d’autres crédits d’investissement, dont les versements sont retardés…
A noter que les petites villes sont désormais concernées par le « dispositif de lissage conjoncturel », alors qu’elles étaient exclues jusqu’ici.
Luc Alain Vervisch s’est attelé ensuite à présenter dans le détail un ensemble de mesures, dont certaines s’appliquent par application de la loi de finances de l’année précédente, ou encore de la loi spéciale, et d’autres, « probables », sont contenues dans le PLF 2025 en cours d’examen.
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Source - APVF