
Chaque département dispose d’au moins un site équipé pour l’audition vidéo des mineurs victimes d’infractions à caractère sexuel
30 salles déjà existantes. 20 salles supplémentaires seront développées en 2021
La libération de la parole des très jeunes victimes est favorisée par la mise en place de dispositifs permettant de procéder à l’audition de jeunes enfants dans les meilleures conditions, en créant un environnement le plus sécurisant possible :
• aménagement de pièces avec du mobilier et une décoration adaptés (murs et mobilier de couleur douce, canapé…),
• utilisation de poupées,
• systèmes d’enregistrement vidéo et sonores dissimulés avec un déport dans une salle adjacente afin de permettre à d’autres enquêteurs de suivre l’entretien.
L’utilisation de l’enregistrement audiovisuel des propos permet d’éviter à l’enfant d’avoir à répéter à de multiples reprises une relation de faits traumatisants et de fixer par l’image des comportements révélateurs sur la véracité des propos, l’ampleur du traumatisme et de déceler les éléments non verbalisés par le mineur victime (attitude, silence, gestuelle) et de les mémoriser pour la suite de la procédure.
Ministère de l’Intérieur >> Note complète
Source / APVF
30 salles déjà existantes. 20 salles supplémentaires seront développées en 2021
La libération de la parole des très jeunes victimes est favorisée par la mise en place de dispositifs permettant de procéder à l’audition de jeunes enfants dans les meilleures conditions, en créant un environnement le plus sécurisant possible :
• aménagement de pièces avec du mobilier et une décoration adaptés (murs et mobilier de couleur douce, canapé…),
• utilisation de poupées,
• systèmes d’enregistrement vidéo et sonores dissimulés avec un déport dans une salle adjacente afin de permettre à d’autres enquêteurs de suivre l’entretien.
L’utilisation de l’enregistrement audiovisuel des propos permet d’éviter à l’enfant d’avoir à répéter à de multiples reprises une relation de faits traumatisants et de fixer par l’image des comportements révélateurs sur la véracité des propos, l’ampleur du traumatisme et de déceler les éléments non verbalisés par le mineur victime (attitude, silence, gestuelle) et de les mémoriser pour la suite de la procédure.
Ministère de l’Intérieur >> Note complète
Source / APVF