Ce sont en particulier les résidus du pesticide appelé chlorothalonil qui ont attiré l’attention de l’Anses. Ce fongicide, interdit en Europe depuis 2019 et en France depuis 2020, a laissé des traces durables dans l’eau, puisque l’Anses en a retrouvé dans « plus d’un échantillon sur deux ».
Au sommaire :
- Dépassements du seuil de qualité
L’étude menée par l’Anses - dont le rapport a été rendu public jeudi dernier - a consisté à rechercher 157 pesticides et « métabolites » (résidus) de ceux-ci, dans 300 prélèvements (deux tiers provenant d’eaux traitées d’origine souterraine et un tiers d’eaux traitées d’origine superficielle).
- Pollueur payeur
Ces relevés de l’Anses pourraient avoir des conséquences très importantes pour les services d’eau et d’assainissement. Comme l’écrit la FNCCR dans un communiqué publié le 6 avril , n’ont donc « pas d’autre choix que d’engager des traitements curatifs ». Ce qui pourrait représenter une dépense de « plusieurs milliards d’euros à l’échelle nationale»
AMF >> Communiqué complet
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- Dépassements du seuil de qualité
L’étude menée par l’Anses - dont le rapport a été rendu public jeudi dernier - a consisté à rechercher 157 pesticides et « métabolites » (résidus) de ceux-ci, dans 300 prélèvements (deux tiers provenant d’eaux traitées d’origine souterraine et un tiers d’eaux traitées d’origine superficielle).
- Pollueur payeur
Ces relevés de l’Anses pourraient avoir des conséquences très importantes pour les services d’eau et d’assainissement. Comme l’écrit la FNCCR dans un communiqué publié le 6 avril , n’ont donc « pas d’autre choix que d’engager des traitements curatifs ». Ce qui pourrait représenter une dépense de « plusieurs milliards d’euros à l’échelle nationale»
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