Pour répondre à cette question, un consortium international de scientifiques, impliquant notamment l’ONF, et coordonné par INRAE et Bordeaux Sciences Agro, a étudié la croissance de 223 espèces d’arbres dans 160 forêts expérimentales à travers le monde pour déterminer quelles espèces fixent le plus de carbone.
Publiés dans la revue scientifique Nature , les résultats, à disposition des gestionnaires forestiers, mettent en évidence la fonction centrale des conditions locales (climat, sol…) dans la croissance des arbres et leur rôle de fixation de carbone.
Sommaire
- La théorie actuelle : les espèces acquisitives poussent vite
- Nouveauté : les espèces conservatives poussent plus vite dans les forêts
- Le rôle central du choix des espèces en fonction des climat et sol locaux
Source - INRAE
Publiés dans la revue scientifique Nature , les résultats, à disposition des gestionnaires forestiers, mettent en évidence la fonction centrale des conditions locales (climat, sol…) dans la croissance des arbres et leur rôle de fixation de carbone.
Sommaire
- La théorie actuelle : les espèces acquisitives poussent vite
- Nouveauté : les espèces conservatives poussent plus vite dans les forêts
- Le rôle central du choix des espèces en fonction des climat et sol locaux
Source - INRAE