Réutiliser les eaux usées pour économiser l’eau douce, c’est l’une des vertus de ce que l’on nomme la « reuse ». Cette démarche constitue un levier essentiel dans un contexte où le réchauffement climatique augmente la pression sur la ressource hydrique.
Levier pourtant bien peu actionné en France où seul 0,6 % des eaux usées sont retraitées . Ce phénomène français s’explique principalement par un manque de sensibilisation du public et une réglementation très stricte.
Le retraitement et la réutilisation des eaux usées traitées sont encadrés en France par deux arrêtés ministériels de 2010 et 2014 . Cette réglementation définit quatre niveaux - A, B, C, ou D, du meilleur au moins bon - avec pour chacun des exigences de qualité d’eau et des usages autorisés et interdits.
Au sommaire :
- Obstacles réglementaires
- Un nouveau règlement européen
- Plus souple que le cadre français
- Une harmonisation et des interrogations
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Levier pourtant bien peu actionné en France où seul 0,6 % des eaux usées sont retraitées . Ce phénomène français s’explique principalement par un manque de sensibilisation du public et une réglementation très stricte.
Le retraitement et la réutilisation des eaux usées traitées sont encadrés en France par deux arrêtés ministériels de 2010 et 2014 . Cette réglementation définit quatre niveaux - A, B, C, ou D, du meilleur au moins bon - avec pour chacun des exigences de qualité d’eau et des usages autorisés et interdits.
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- Obstacles réglementaires
- Un nouveau règlement européen
- Plus souple que le cadre français
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