En France, comme dans d’autres pays, la quantification de ce risque est effectuée sur la base des événements de forte intensité connus. La législation autorise ainsi la construction de bâtiments en fonction de la période de retours des aléas avalancheux.
Centrée uniquement sur l’aléa, cette approche du risque néglige cependant la réponse des éléments exposés : les constructions et leurs habitants. Dans le cadre du programme de recherche ANR Mopera, piloté par Irstea et portant sur l’étude des risques d’avalanches par modélisation probabiliste, les chercheurs ont développé une approche innovante du calcul du risque qui prend en compte à la fois l’aléa et la vulnérabilité d’un type particulier de bâtiments (structures en béton armé), soit son état d’endommagement face à l’avalanche…
IRSTEA - 2017-01-24
Centrée uniquement sur l’aléa, cette approche du risque néglige cependant la réponse des éléments exposés : les constructions et leurs habitants. Dans le cadre du programme de recherche ANR Mopera, piloté par Irstea et portant sur l’étude des risques d’avalanches par modélisation probabiliste, les chercheurs ont développé une approche innovante du calcul du risque qui prend en compte à la fois l’aléa et la vulnérabilité d’un type particulier de bâtiments (structures en béton armé), soit son état d’endommagement face à l’avalanche…
IRSTEA - 2017-01-24