À l’approche de l’examen du budget 2023, le président de la SNCF donne de la voix pour arracher un soutien de l’État plus ambitieux, alors que son entreprise fait face à un mur d’investissements. Cet été, le dirigeant a évalué le besoin d’investissements dans le ferroviaire à 100 milliards d’euros supplémentaires sur 15 ans (la moitié financée par l’Etat), avec l’espoir à la clé de doubler la part du train dans le transport de voyageurs et de marchandises.
Or le nouveau contrat de performance signé cet été entre l’État et SNCF Réseau s’avère bien insuffisant, au regard des besoins.
Après un été marqué par une affluence record dans les gares, mais également quelques incidents sur le trafic, Jean-Pierre Farandou plaide pour que son entreprise ne fasse pas l’économie d’équipements modernes
Au sommaire de l’article
« Sans un engagement financier beaucoup plus massif, le réseau va irrémédiablement décrocher », reconnaît le sénateur Philippe Tabarot
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Or le nouveau contrat de performance signé cet été entre l’État et SNCF Réseau s’avère bien insuffisant, au regard des besoins.
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