En France, une femme sur 10 - soit 1,5 à 2,5 millions de Françaises - vit avec cette maladie gynécologique chronique, aux symptômes pouvant être très variés.
Le Comité de pilotage a été l’occasion de dresser un premier bilan et surtout de tracer de nouvelles perspectives, pour avancer avec une ambition renouvelée, déclinée en 3 axes.
- Premier axe : la recherche scientifique. La ministre Sylvie Retailleau a rappelé l’ambition de placer la France aux avant-postes de la recherche et de l’innovation sur l’endométriose, grâce à un investissement d’ampleur : 30 millions d’euros sont en effet consacrés au programme prioritaire de recherche (PEPR), « santé des femmes et santé des couples », dont l’élaboration a été confiée à l’Inserm
- Le deuxième axe de la Stratégie porte l’objectif de garantir un diagnostic rapide et l’accès à des soins de qualité sur l’ensemble du territoire, principalement via la structuration, dans chaque région, d’une filière dédiée à la prise en charge de l’endométriose. La mise en place de ces filières est soutenue par des budgets annuels du Fonds d’intervention régional (FIR) à hauteur de 4,5 millions d’euros.
- Le troisième axe de la Stratégie vise à mieux communiquer, former et informer l’ensemble de la société sur l’endométriose (espace dédié sur https://www.sante.fr/endometriose ).
De nouvelles campagnes de formation et d’information seront menées à l’intention des professionnels, et un travail plus large sur le reste à charge pour les patientes ne relevant pas du dispositif de l’ALD, sera conduit.
Ministère de la Sante et de Prévention >> Communiqué complet
Le Comité de pilotage a été l’occasion de dresser un premier bilan et surtout de tracer de nouvelles perspectives, pour avancer avec une ambition renouvelée, déclinée en 3 axes.
- Premier axe : la recherche scientifique. La ministre Sylvie Retailleau a rappelé l’ambition de placer la France aux avant-postes de la recherche et de l’innovation sur l’endométriose, grâce à un investissement d’ampleur : 30 millions d’euros sont en effet consacrés au programme prioritaire de recherche (PEPR), « santé des femmes et santé des couples », dont l’élaboration a été confiée à l’Inserm
- Le deuxième axe de la Stratégie porte l’objectif de garantir un diagnostic rapide et l’accès à des soins de qualité sur l’ensemble du territoire, principalement via la structuration, dans chaque région, d’une filière dédiée à la prise en charge de l’endométriose. La mise en place de ces filières est soutenue par des budgets annuels du Fonds d’intervention régional (FIR) à hauteur de 4,5 millions d’euros.
- Le troisième axe de la Stratégie vise à mieux communiquer, former et informer l’ensemble de la société sur l’endométriose (espace dédié sur https://www.sante.fr/endometriose ).
De nouvelles campagnes de formation et d’information seront menées à l’intention des professionnels, et un travail plus large sur le reste à charge pour les patientes ne relevant pas du dispositif de l’ALD, sera conduit.
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