L’accord sur les pandémies signé en mai 2025 par les États membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est présenté comme un succès historique du multilatéralisme.
Pourtant, il pourrait se révéler délétère pour les autres priorités de santé globale, du fait de la gouvernance technocratique qu’il propose et des coûts financiers élevés qui seraient alloués à des risques pandémiques hypothétiques.
Sommaire
- Un contexte de réduction de l’aide au développement
- L’accord sur les pandémies n’est qu’un début
- Les implications juridiques et le rôle de l’OMS
- Des risques de pandémie surestimés, au détriment d’autres priorités
- Une insistance excessive sur une approche sécuritaire de la santé
- Des préoccupations en matière d’équité
- Des risques de corruption et de marchandisation ?
- Pour une approche globale centrée sur les déterminants sociaux de la santé
Source - The Conversation
Pourtant, il pourrait se révéler délétère pour les autres priorités de santé globale, du fait de la gouvernance technocratique qu’il propose et des coûts financiers élevés qui seraient alloués à des risques pandémiques hypothétiques.
Sommaire
- Un contexte de réduction de l’aide au développement
- L’accord sur les pandémies n’est qu’un début
- Les implications juridiques et le rôle de l’OMS
- Des risques de pandémie surestimés, au détriment d’autres priorités
- Une insistance excessive sur une approche sécuritaire de la santé
- Des préoccupations en matière d’équité
- Des risques de corruption et de marchandisation ?
- Pour une approche globale centrée sur les déterminants sociaux de la santé
Source - The Conversation