Face aux difficultés d’accès aux soins et à la persistance d’une dette de santé publique préoccupante depuis le début de la pandémie de Covid-19, le gouvernement a décidé fin mars d'augmenter les tarifs de certaines spécialités faisant l’objet d’un sous-recours aux soins. C’est le cas des activités de médecine, soins palliatifs et greffes.
S’estimant lésés que les priorités retenues - qui répondent aux besoins de santé des Français - ne correspondent pas aux activités que les cliniques privées préfèrent réaliser, leurs représentants menacent de faire grève à compter du 3 juin. Ce choix leur appartient mais il n’est pas sans conséquences. Comme toujours, l’hôpital public répondra présent pour tous les patients, y compris lorsque les cliniques fermeront leurs portes.
Les défis qui nous attendent imposent d’avancer ensemble, loin des querelles stériles, pour inventer la santé de demain. Une santé au service de nos concitoyens, à la hauteur de leurs attentes et en mesure de leur redonner confiance dans le système de santé.
FHF
Source - FHF
S’estimant lésés que les priorités retenues - qui répondent aux besoins de santé des Français - ne correspondent pas aux activités que les cliniques privées préfèrent réaliser, leurs représentants menacent de faire grève à compter du 3 juin. Ce choix leur appartient mais il n’est pas sans conséquences. Comme toujours, l’hôpital public répondra présent pour tous les patients, y compris lorsque les cliniques fermeront leurs portes.
Les défis qui nous attendent imposent d’avancer ensemble, loin des querelles stériles, pour inventer la santé de demain. Une santé au service de nos concitoyens, à la hauteur de leurs attentes et en mesure de leur redonner confiance dans le système de santé.
FHF
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