Comment les populations se répartissent-elles dans l’ensemble du territoire ? Existe-t-il une ségrégation résidentielle (par choix ou par relégation) au regard de cette répartition ?
L’étude de France stratégie qui vient d'être publiée le 3 avril 2024 porte sur la période de 1968 à 2019 et sur 50 aires d’attraction des villes (AAV) de plus de 200 000 habitants. Les observateurs distinguent trois espaces résidentiels :
- la commune-centre ;
- les autres communes du pôle (banlieue) ;
- la couronne ou périphérie (grande banlieue, communes péri-urbaines, voire rurales).
Ces AAV sont classées en deux catégories : les aires d’attraction moyenne (jusqu'à 700 000 habitants) et les grandes aires d’attraction (au-delà de 700 000 habitants). L’aire de Paris, compte-tenu de ses spécificités, est considérée comme une AAV à part.
Au sommaire :
- Une tendance à vivre plus fréquemment en périphérie
- Une situation plus hétérogène pour les populations immigrées
Vie Publique
L’étude de France stratégie qui vient d'être publiée le 3 avril 2024 porte sur la période de 1968 à 2019 et sur 50 aires d’attraction des villes (AAV) de plus de 200 000 habitants. Les observateurs distinguent trois espaces résidentiels :
- la commune-centre ;
- les autres communes du pôle (banlieue) ;
- la couronne ou périphérie (grande banlieue, communes péri-urbaines, voire rurales).
Ces AAV sont classées en deux catégories : les aires d’attraction moyenne (jusqu'à 700 000 habitants) et les grandes aires d’attraction (au-delà de 700 000 habitants). L’aire de Paris, compte-tenu de ses spécificités, est considérée comme une AAV à part.
Au sommaire :
- Une tendance à vivre plus fréquemment en périphérie
- Une situation plus hétérogène pour les populations immigrées
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