Nous nous sommes attachés à trois personnalités phares de la création au féminin, dont les parcours, parfois semés d’embûches, sont aussi passionnants qu’étonnants. Il s’agit d’une comédienne, d’une écrivaine et - plus méconnue - d’une pionnière du cinéma.
Sarah Bernhardt, la fameuse tragédienne, dont le génie nous révèle aussi qu’il y eut une préhistoire du « vedettariat » ; Colette, l’écrivaine que Mauriac appelait la « joyeuse ogresse », merveilleuse de sensibilité littéraire ; et enfin Alice Guy, la première réalisatrice de films de fiction, un cas d’école de disparition de la renommée d’une femme, dévorée par celle de Louis Feuillade, et celle de Georges Méliès, qui se sont partagés sans elle la place de pionniers français du cinéma.
Ministère de la CulturePublication complète
Sarah Bernhardt, la fameuse tragédienne, dont le génie nous révèle aussi qu’il y eut une préhistoire du « vedettariat » ; Colette, l’écrivaine que Mauriac appelait la « joyeuse ogresse », merveilleuse de sensibilité littéraire ; et enfin Alice Guy, la première réalisatrice de films de fiction, un cas d’école de disparition de la renommée d’une femme, dévorée par celle de Louis Feuillade, et celle de Georges Méliès, qui se sont partagés sans elle la place de pionniers français du cinéma.
Ministère de la CulturePublication complète