Chaque été, les spécialistes de la défense des forêts de l’Office national des forêts (ONF) prélèvent des échantillons sur les végétaux afin de mesurer l’ampleur de la sécheresse.
En suivant un protocole scientifique rigoureux élaboré par l’INRAE (Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement), ils évaluent le niveau de sécheresse de la flore, souvent invisible à l’œil nu, puis identifient les zones géographiques les plus vulnérables.
Associées aux révisions météorologiques (vent, températures, humidité de l’air), les données recueillies permettent à Météo France de déterminer un niveau de danger feu de forêt. Cette évaluation guide le déploiement des moyens de lutte
Au-delà du volet opérationnel, ce suivi hydrique est un outil d’aide à la décision utilisé par les services de l’État pour affiner les niveaux d’alerte des feux et mettre en place les mesures préventives.
>> Télécharger le communiqué de presse
Source - ONF
En suivant un protocole scientifique rigoureux élaboré par l’INRAE (Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement), ils évaluent le niveau de sécheresse de la flore, souvent invisible à l’œil nu, puis identifient les zones géographiques les plus vulnérables.
Associées aux révisions météorologiques (vent, températures, humidité de l’air), les données recueillies permettent à Météo France de déterminer un niveau de danger feu de forêt. Cette évaluation guide le déploiement des moyens de lutte
Au-delà du volet opérationnel, ce suivi hydrique est un outil d’aide à la décision utilisé par les services de l’État pour affiner les niveaux d’alerte des feux et mettre en place les mesures préventives.
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