L'objectif de cette étude était d’améliorer le traitement et la réutilisation des eaux usées des zones humides artificielles en utilisant les plantes et le microbiome de leur rhizosphère (définie comme la zone située à proximité des racines).
Ces huit ans d’étude révèlent que les monocotylédones ont été sélectionnées au cours de l’évolution pour supporter de fortes pollutions en zone humide en comparaison aux dicotylédones. Ces résultats trouvent des applications en métaremédiation.
CNRS - 2017-10-24
Ces huit ans d’étude révèlent que les monocotylédones ont été sélectionnées au cours de l’évolution pour supporter de fortes pollutions en zone humide en comparaison aux dicotylédones. Ces résultats trouvent des applications en métaremédiation.
CNRS - 2017-10-24