Voilà deux mots qui sont presque devenus des mantras : transparence et authenticité.
Dans la reconquête de la crédibilité de la parole publique, on nous rappelle que le citoyen attend de nous que tout soit clair, limpide, sincère, « vrai ». Et c’est valable en interne comme en externe, la frontière entre les deux n’existant presque plus dans certains cas.
Mais cette injonction à la transparence totale et à l’authenticité absolue ne finit-elle pas par devenir… paradoxale ?
C’était, pour partie, le sujet de l’atelier mené au Spot Festival en juin dernier.
Un sujet, pris sous l’angle des productions audiovisuelles, qui sera à nouveau évoqué lors d’une conférence Hop lors du Forum Cap'Com d’Angers : « Des films pour raconter les territoires et les institutions »
Source - Cap ‘Com
Dans la reconquête de la crédibilité de la parole publique, on nous rappelle que le citoyen attend de nous que tout soit clair, limpide, sincère, « vrai ». Et c’est valable en interne comme en externe, la frontière entre les deux n’existant presque plus dans certains cas.
Mais cette injonction à la transparence totale et à l’authenticité absolue ne finit-elle pas par devenir… paradoxale ?
C’était, pour partie, le sujet de l’atelier mené au Spot Festival en juin dernier.
Un sujet, pris sous l’angle des productions audiovisuelles, qui sera à nouveau évoqué lors d’une conférence Hop lors du Forum Cap'Com d’Angers : « Des films pour raconter les territoires et les institutions »
Source - Cap ‘Com