Mais l’hypothèse de trains roulant à 200 km/h sur les grandes lignes classiques a été émise comme la solution miracle, sans la moindre étude technique préalable démontrant sa faisabilité et évaluant les gains de temps possibles et les coûts d’adaptation des infrastructures.
Il est révélateur que l’appel d’offres lancé en février 2016 par Alain Vidalies, secrétaire d’Etat aux Transports, pour le renouvellement des trains Corail par des trains modernes pouvant rouler à 200 km/h sur les lignes classiques dites structurantes n’ait été accompagné d’aucun plan pour adapter l’infrastructure au futur matériel roulant.
La FNAUT a donc comblé cette lacune étonnante et inquiétante en suscitant une expertise sur la possibilité technique d’introduire des trains roulant à 200 km/h sur les grandes lignes classiques. Cette expertise a été financée par l’association Qualité Mobilité, qui regroupe un grand nombre d’acteurs du secteur des transports. Elle a été réalisée par Gérard Mathieu, consultant indépendant et expert ferroviaire reconnu.
FNAUT - 2016-04-08
Il est révélateur que l’appel d’offres lancé en février 2016 par Alain Vidalies, secrétaire d’Etat aux Transports, pour le renouvellement des trains Corail par des trains modernes pouvant rouler à 200 km/h sur les lignes classiques dites structurantes n’ait été accompagné d’aucun plan pour adapter l’infrastructure au futur matériel roulant.
La FNAUT a donc comblé cette lacune étonnante et inquiétante en suscitant une expertise sur la possibilité technique d’introduire des trains roulant à 200 km/h sur les grandes lignes classiques. Cette expertise a été financée par l’association Qualité Mobilité, qui regroupe un grand nombre d’acteurs du secteur des transports. Elle a été réalisée par Gérard Mathieu, consultant indépendant et expert ferroviaire reconnu.
FNAUT - 2016-04-08