En vigueur dans le reste de l’Union européenne, le terme de protection civile, de portée plus large, recouvre les trois piliers nécessaires que sont la communication et l’information des populations, l’éducation du citoyen et la recherche-développement pour construire une véritable culture de protection civile et accroître la résilience de la population.
L’adoption de ce concept de protection civile par la France est, par conséquent, préconisée : il est aujourd’hui nécessaire de faire du citoyen le premier acteur de sa protection pour éviter une consommation excessive des services publics.
En effet, notre modèle de protection civile, dont les sapeurs-pompiers sont, parmi d’autres, les principaux acteurs, est aujourd’hui placé sous forte tension par la multiplication et l’intensification des situations exceptionnelles, qu’elles soient sanitaires, climatiques, technologiques, terroristes, en plus de ses missions quotidiennes.
Cette multiplication des risques, doublée de l’explosion des interventions de secours et de soins d’urgence aux personnes et des missions d’assistance ou de transport effectuées par carence des acteurs de santé, ont conduit les sapeurs-pompiers à devenir les soldats de la vie, dernier rempart à la désertification médicale dans les territoires.
Plus récemment, à l’aune des mégafeux et à l’heure de la préservation de la biodiversité face à la multiplication des catastrophes naturelles (feux d’espaces naturels, inondations, tempêtes, cyclones, submersions marines…), auxquelles ils sont exposés en première ligne, les sapeurs-pompiers s’imposent comme les soldats de l’humanité face au dérèglement climatique …
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L’adoption de ce concept de protection civile par la France est, par conséquent, préconisée : il est aujourd’hui nécessaire de faire du citoyen le premier acteur de sa protection pour éviter une consommation excessive des services publics.
En effet, notre modèle de protection civile, dont les sapeurs-pompiers sont, parmi d’autres, les principaux acteurs, est aujourd’hui placé sous forte tension par la multiplication et l’intensification des situations exceptionnelles, qu’elles soient sanitaires, climatiques, technologiques, terroristes, en plus de ses missions quotidiennes.
Cette multiplication des risques, doublée de l’explosion des interventions de secours et de soins d’urgence aux personnes et des missions d’assistance ou de transport effectuées par carence des acteurs de santé, ont conduit les sapeurs-pompiers à devenir les soldats de la vie, dernier rempart à la désertification médicale dans les territoires.
Plus récemment, à l’aune des mégafeux et à l’heure de la préservation de la biodiversité face à la multiplication des catastrophes naturelles (feux d’espaces naturels, inondations, tempêtes, cyclones, submersions marines…), auxquelles ils sont exposés en première ligne, les sapeurs-pompiers s’imposent comme les soldats de l’humanité face au dérèglement climatique …
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