Villes les plus pauvres, les plus riches, les plus inégalitaires... les classements que nous publions sont très médiatisés. Pour les utiliser au mieux, il faut bien en saisir la portée, mais aussi les limites. Analyse de Louis Maurin, directeur de l’Observatoire des inégalités.
L’Observatoire publie ce type de classements depuis des années. Malheureusement, ils sont régulièrement utilisés sans prendre les précautions d’usage. On leur fait dire davantage que ce qu’ils signifient, sans toujours être attentifs à leurs limites.
Il n’est pas inutile de rappeler celles-ci :
- La première limite est liée à la taille des villes.
- Deuxièmement, ces classements reflètent un découpage administratif qui n’a pas toujours de sens d’un point de vue géographique, économique, social ou culturel.
- Enfin, troisièmement, les entités géographiques ont, pour une taille équivalente, des fonctions très différentes.
Observatoire Des Inégalités >> Communiqué complet
L’Observatoire publie ce type de classements depuis des années. Malheureusement, ils sont régulièrement utilisés sans prendre les précautions d’usage. On leur fait dire davantage que ce qu’ils signifient, sans toujours être attentifs à leurs limites.
Il n’est pas inutile de rappeler celles-ci :
- La première limite est liée à la taille des villes.
- Deuxièmement, ces classements reflètent un découpage administratif qui n’a pas toujours de sens d’un point de vue géographique, économique, social ou culturel.
- Enfin, troisièmement, les entités géographiques ont, pour une taille équivalente, des fonctions très différentes.
Observatoire Des Inégalités >> Communiqué complet