Depuis son entrée en vigueur, le 1er juillet 2013, l’ANPCEN en suit l'application via des bénévoles qui descendent la nuit dresser des constats sur le terrain. Pour ces relevés, sont suivis, au minimum, une façade de bâtiment communal, une façade de bâtiment de l’Etat, une église, trois monuments emblématiques de la ville, une rue commerçante et au moins une dizaine de vitrines
Selon l’ANPCEN "La première mesure de limitation des éclairages inutiles en milieu de nuit a produit des améliorations notables, montrant l’intérêt de fixer des limites à l’actuelle croissance exponentielle de la lumière artificielle émise la nuit. Il reste néanmoins des statu quo difficilement compréhensible.
Les progrès ne s’effectueront pas sans une forte mobilisation des autorités. Qu’il n’y ait de la part de l’Etat comme des collectivités aucune mesure prise pour effectuer le suivi de la réglementation publique constitue une négation des impacts des nuisances apportées par le sur-éclairage aux Français et à l’environnement"
L’ANPCEN appelle le ministre Nicolas Hulot à faire assurer l’application de la réglementation par les préfets, et à mobiliser les collectivités et fédérations professionnelles concernées.
La situation est contrastée selon les villes, selon l’ANPCEN qui a recensé 70% de sites non conformes à Bordeaux par exemple. Autres mauvais élèves, Grenoble, Limoges, Marseille, Saint-Etienne.
Si Lille, Nantes, Strasbourg, Toulouse sont bons élèves, Paris est en position moyenne (39% de sites conformes, 52% de partiellement conformes, 9% de non conformes), comme Lyon, Nice et Montpellier.
ANPCEN - 2017-06-26
Selon l’ANPCEN "La première mesure de limitation des éclairages inutiles en milieu de nuit a produit des améliorations notables, montrant l’intérêt de fixer des limites à l’actuelle croissance exponentielle de la lumière artificielle émise la nuit. Il reste néanmoins des statu quo difficilement compréhensible.
Les progrès ne s’effectueront pas sans une forte mobilisation des autorités. Qu’il n’y ait de la part de l’Etat comme des collectivités aucune mesure prise pour effectuer le suivi de la réglementation publique constitue une négation des impacts des nuisances apportées par le sur-éclairage aux Français et à l’environnement"
L’ANPCEN appelle le ministre Nicolas Hulot à faire assurer l’application de la réglementation par les préfets, et à mobiliser les collectivités et fédérations professionnelles concernées.
La situation est contrastée selon les villes, selon l’ANPCEN qui a recensé 70% de sites non conformes à Bordeaux par exemple. Autres mauvais élèves, Grenoble, Limoges, Marseille, Saint-Etienne.
Si Lille, Nantes, Strasbourg, Toulouse sont bons élèves, Paris est en position moyenne (39% de sites conformes, 52% de partiellement conformes, 9% de non conformes), comme Lyon, Nice et Montpellier.
ANPCEN - 2017-06-26