La mise en place des Zones à faibles émissions, dont le bien-fondé est réel, pose encore de trop nombreuses questions laissées en suspens depuis deux ans par l’Etat, tant sur les modalités concrètes de mise en oeuvre que sur les mesures d’accompagnement des particuliers et des professionnels impactés.
Les élus des grandes villes, agglomérations et métropoles, fortement engagés, ont rappelé leurs attentes vis-à-vis de l’Etat qui doit aussi se mobiliser pour :
- Renforcer l’accompagnement des populations pour ne pas aboutir à des «zones à forte exclusion»,
- Considérer la mise en place d’un système d’attribution de « droits exceptionnels d’émission »,
- Mettre en place de dispositifs de contrôle automatisé des véhicules
- Obtenir un accord sur le contrôle des véhicules étrangers.
- Accompagner financièrement les collectivités à investir massivement dans le développement des infrastructures de mobilités douces,
La mise en place tardive d’un contrôle automatisé des véhicules qu’à partir de 2024 doit être mise à profit pour renforcer et accélérer l’extension des aides aux populations des territoires voisins impactées.
France urbaine salue l’annonce de la création de groupes de travail « Acceptabilité sociale » et « Logistique », la nomination d’un Délégué interministériel dédié, la réalisation d’une campagne de communication nationale de sensibilisation et l’instauration de rendez-vous tous les six mois avec les élus urbains.
France Urbaine >> Communiqué complet
Les élus des grandes villes, agglomérations et métropoles, fortement engagés, ont rappelé leurs attentes vis-à-vis de l’Etat qui doit aussi se mobiliser pour :
- Renforcer l’accompagnement des populations pour ne pas aboutir à des «zones à forte exclusion»,
- Considérer la mise en place d’un système d’attribution de « droits exceptionnels d’émission »,
- Mettre en place de dispositifs de contrôle automatisé des véhicules
- Obtenir un accord sur le contrôle des véhicules étrangers.
- Accompagner financièrement les collectivités à investir massivement dans le développement des infrastructures de mobilités douces,
La mise en place tardive d’un contrôle automatisé des véhicules qu’à partir de 2024 doit être mise à profit pour renforcer et accélérer l’extension des aides aux populations des territoires voisins impactées.
France urbaine salue l’annonce de la création de groupes de travail « Acceptabilité sociale » et « Logistique », la nomination d’un Délégué interministériel dédié, la réalisation d’une campagne de communication nationale de sensibilisation et l’instauration de rendez-vous tous les six mois avec les élus urbains.
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