
Au deuxième trimestre 2019, les prix des logements anciens en France (hors Mayotte) continuent d’augmenter : +0,8 % par rapport au premier trimestre 2019 (données provisoires corrigées des variations saisonnières), soit légèrement plus rapidement qu’au trimestre précédent (+0,6 %).
Sur un an, les prix accélèrent légèrement : +3,2 %, après 3,0 %. Comme observé depuis fin 2016, la hausse reste plus importante pour les appartements (+4,3 % en un an) que pour les maisons (+2,4 %)
En Île-de-France, les prix des logements anciens restent dynamiques
Au deuxième trimestre 2019, les prix des logements anciens en Île-de-France accélèrent : +1,1 % par rapport au trimestre précédent, après +0,6 %.
Sur un an, les prix continuent de s’accroître à un rythme soutenu : +3,9 % entre le deuxième trimestre 2018 et le deuxième trimestre 2019, après +4,0 % et +4,2 %. Les prix des appartements augmentent de 4,9 % sur un an et ceux des maisons de 1,9 %. Paris continue de tirer vers le haut les prix des appartements : +6,3 % sur un an au deuxième trimestre 2019, après +6,6 % au premier trimestre 2019 et +5,7 % au quatrième trimestre 2018. Hors Paris, la hausse des prix sur un an des logements anciens en Île-de-France s’établit à 2,7 % au deuxième trimestre 2019.
Poursuite de la hausse des prix en province
Au deuxième trimestre 2019, les prix des logements anciens en province continuent d’augmenter au même rythme que lors des deux trimestres précédents (+0,6 %).
Sur un an, la hausse des prix est quasi inchangée : +2,8 % entre le deuxième trimestre 2018 et le deuxième trimestre 2019, après +2,6 % et +2,8 %. Cette hausse est proche de celle observée en Île-de-France hors Paris. Comme déjà au premier trimestre 2019, la hausse sur un an en province est, au deuxième trimestre, plus importante pour les appartements (+3,7 %) que pour les maisons (+2,4 %).
Le volume annuel de transactions reste élevé
Au deuxième trimestre 2019, le volume annuel de transactions reste à un niveau élevé : en juin, le nombre de transactions réalisées au cours des douze derniers mois est de 1 017 000. Il est supérieur au volume cumulé sur un an observé le trimestre précédent (985 000 à fin mars), ainsi qu’à celui observé un an plus tôt (956 000). Si l’on rapporte les transactions au stock de logements disponibles, qui augmente d’environ 1 % par an, la proportion de ventes reste équivalente aujourd’hui à celle du début des années 2000.
INSEE - Analyse complète - 2019-10-01
Sur un an, les prix accélèrent légèrement : +3,2 %, après 3,0 %. Comme observé depuis fin 2016, la hausse reste plus importante pour les appartements (+4,3 % en un an) que pour les maisons (+2,4 %)
En Île-de-France, les prix des logements anciens restent dynamiques
Au deuxième trimestre 2019, les prix des logements anciens en Île-de-France accélèrent : +1,1 % par rapport au trimestre précédent, après +0,6 %.
Sur un an, les prix continuent de s’accroître à un rythme soutenu : +3,9 % entre le deuxième trimestre 2018 et le deuxième trimestre 2019, après +4,0 % et +4,2 %. Les prix des appartements augmentent de 4,9 % sur un an et ceux des maisons de 1,9 %. Paris continue de tirer vers le haut les prix des appartements : +6,3 % sur un an au deuxième trimestre 2019, après +6,6 % au premier trimestre 2019 et +5,7 % au quatrième trimestre 2018. Hors Paris, la hausse des prix sur un an des logements anciens en Île-de-France s’établit à 2,7 % au deuxième trimestre 2019.
Poursuite de la hausse des prix en province
Au deuxième trimestre 2019, les prix des logements anciens en province continuent d’augmenter au même rythme que lors des deux trimestres précédents (+0,6 %).
Sur un an, la hausse des prix est quasi inchangée : +2,8 % entre le deuxième trimestre 2018 et le deuxième trimestre 2019, après +2,6 % et +2,8 %. Cette hausse est proche de celle observée en Île-de-France hors Paris. Comme déjà au premier trimestre 2019, la hausse sur un an en province est, au deuxième trimestre, plus importante pour les appartements (+3,7 %) que pour les maisons (+2,4 %).
Le volume annuel de transactions reste élevé
Au deuxième trimestre 2019, le volume annuel de transactions reste à un niveau élevé : en juin, le nombre de transactions réalisées au cours des douze derniers mois est de 1 017 000. Il est supérieur au volume cumulé sur un an observé le trimestre précédent (985 000 à fin mars), ainsi qu’à celui observé un an plus tôt (956 000). Si l’on rapporte les transactions au stock de logements disponibles, qui augmente d’environ 1 % par an, la proportion de ventes reste équivalente aujourd’hui à celle du début des années 2000.
INSEE - Analyse complète - 2019-10-01
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