
Un courrier a été adressé à Julien Denormandie exprimant l’inquiétude des élus en matière de couverture mobile sur le territoire.
Le lancement du New deal mobile en janvier 2018 et les engagements pris par les opérateurs d’accélérer la couverture mobile des territoires se fondaient sur trois axes : investir plus,déployer plus rapidement et renforcer la transparence. Force est de constater que, plusieurs mois après ces annonces, et en perspective de 2022 et d’une couverture 4G effective sur l’ensemble des territoires, les acteurs locaux sont de plus en plus dubitatifs sur les promesses faites par l’Etat et les opérateurs.
Le manque de concertation des opérateurs figure comme l’un des principaux griefs. Les élus locaux pointent massivement l’absence de dialogue et le refus de rendre transparent le calendrier et le programme de déploiement. Signataire du courrier, Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse, président de Toulouse Métropole, président de France urbaine, a par ailleurs souhaité "une réelle garantie de libre choix par les collectivités des zones qu’elles souhaitent voir desservies, et un véritable accompagnement des équipes-projets locales par les opérateurs". Le déploiement mobile (et fixe) est en effet une des composantes essentielles de l’aménagement du territoire, il doit de fait appréhender la vision stratégique et d’avenir de la collectivité.
La concertation et la visibilité sont des prérequis que l’Etat, l’ARCEP et les opérateurs doivent mobiliser pour renouer avec la confiance des élus.
France Urbaine - Communiqué complet- 2019-06-26
Le lancement du New deal mobile en janvier 2018 et les engagements pris par les opérateurs d’accélérer la couverture mobile des territoires se fondaient sur trois axes : investir plus,déployer plus rapidement et renforcer la transparence. Force est de constater que, plusieurs mois après ces annonces, et en perspective de 2022 et d’une couverture 4G effective sur l’ensemble des territoires, les acteurs locaux sont de plus en plus dubitatifs sur les promesses faites par l’Etat et les opérateurs.
Le manque de concertation des opérateurs figure comme l’un des principaux griefs. Les élus locaux pointent massivement l’absence de dialogue et le refus de rendre transparent le calendrier et le programme de déploiement. Signataire du courrier, Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse, président de Toulouse Métropole, président de France urbaine, a par ailleurs souhaité "une réelle garantie de libre choix par les collectivités des zones qu’elles souhaitent voir desservies, et un véritable accompagnement des équipes-projets locales par les opérateurs". Le déploiement mobile (et fixe) est en effet une des composantes essentielles de l’aménagement du territoire, il doit de fait appréhender la vision stratégique et d’avenir de la collectivité.
La concertation et la visibilité sont des prérequis que l’Etat, l’ARCEP et les opérateurs doivent mobiliser pour renouer avec la confiance des élus.
France Urbaine - Communiqué complet- 2019-06-26
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