Alors que de nombreuses villes françaises ont été récemment touchées par une forte pollution de l’air aux particules fines, l’ADEME rappelle que l’impact sanitaire de la pollution atmosphérique et en particulier de ces particules est bien réel. Les particules fines émises par le transport, le chauffage et l’industrie (dont l’agriculture) sont potentiellement les plus toxiques car elles ont la faculté de se déposer au plus profond des voies respiratoires.
L’exposition aux particules fines (PM2,5) réduit l’espérance de vie de 8,2 mois et est à l’origine de 42 000 morts prématurées chaque année. Les dernières données scientifiques renforcent encore le lien entre la pollution de l’air extérieur et des pathologies respiratoires et cardiovasculaires et mettent en évidence des effets sur la reproduction, le développement foetal ou neurologique…
ADEME - 2014-09-17
L’exposition aux particules fines (PM2,5) réduit l’espérance de vie de 8,2 mois et est à l’origine de 42 000 morts prématurées chaque année. Les dernières données scientifiques renforcent encore le lien entre la pollution de l’air extérieur et des pathologies respiratoires et cardiovasculaires et mettent en évidence des effets sur la reproduction, le développement foetal ou neurologique…
ADEME - 2014-09-17