Depuis dix ans, le partage des allocations familiales (Af) dans le cadre de la résidence alternée a augmenté continûment, passant de 17 000 allocataires en 2007 à près de 120 000 aujourd’hui, tout en demeurant très minoritaire (moins de 2 % des allocataires avec enfants).
La diffusion de cette pratique apparaît aujourd’hui homogène aussi bien géographiquement (à l’exception de l’unité urbaine de Paris, où il y en a proportionnellement moins) que socialement parmi les allocataires.
Comparés aux allocataires avec enfants pris dans leur ensemble, les parents alternants sont plus masculins, plus âgés, moins souvent en couple et avec moins d’enfants. Par ailleurs, les caractéristiques personnelles et familiales des alternants varient fortement selon leur situation quant au partage des Af.
CNAF - l’e-ssentiel n°184 - 2019-03-13
La diffusion de cette pratique apparaît aujourd’hui homogène aussi bien géographiquement (à l’exception de l’unité urbaine de Paris, où il y en a proportionnellement moins) que socialement parmi les allocataires.
Comparés aux allocataires avec enfants pris dans leur ensemble, les parents alternants sont plus masculins, plus âgés, moins souvent en couple et avec moins d’enfants. Par ailleurs, les caractéristiques personnelles et familiales des alternants varient fortement selon leur situation quant au partage des Af.
CNAF - l’e-ssentiel n°184 - 2019-03-13