A travers cette publication, le Cerema propose un état des lieux des différentes formes d'autopartage et des moyens permettant de déployer cette offre dans les territoires, en choisissant le système le plus adapté aux politiques locales de mobilité. Il s'adresse aux techniciens des collectivités et à l'ensemble des acteurs concernés par les services d'autopartage.
Avec le développement des technologies de l'information et de la communication (TIC), de nouveaux services apparaissent dans le champ de la mobilité, à travers une nouvelle économie du partage. Les pouvoirs publics ont exprimé leur intérêt à promouvoir et à faciliter l’autopartage lors des Assises de la Mobilité qui se sont tenues fin 2017.
Les différentes formes d’autopartage (boucle, trace directe ou free floating) constituent en effet un atout pour les politiques publiques de mobilité durable, et en France, les autorités organisatrices de la mobilité (AOM) peuvent si elles le souhaitent organiser l’autopartage, en créant un leur propre service ou en octroyant un label "autopartage" à un parc de véhicule dédié.
L'ouvrage présente les différentes formes d'autopartage, en présentant certaines expérimentations, et propose un aperçu du déploiement de l'autopartage en Europe ainsi qu'une comparaison internationale des usages de services commerciaux. Il aborde les pratiques existantes en France, avant d'exposer dans une seconde partie les avantages de l'autopartage et les éléments permettant de le déployer sur un territoire :coûts, contractualisation, localisation du stationnement, recours aux véhicules électriques, organisation de l'intermodalité…
CEREMA - 2018-09-18
Avec le développement des technologies de l'information et de la communication (TIC), de nouveaux services apparaissent dans le champ de la mobilité, à travers une nouvelle économie du partage. Les pouvoirs publics ont exprimé leur intérêt à promouvoir et à faciliter l’autopartage lors des Assises de la Mobilité qui se sont tenues fin 2017.
Les différentes formes d’autopartage (boucle, trace directe ou free floating) constituent en effet un atout pour les politiques publiques de mobilité durable, et en France, les autorités organisatrices de la mobilité (AOM) peuvent si elles le souhaitent organiser l’autopartage, en créant un leur propre service ou en octroyant un label "autopartage" à un parc de véhicule dédié.
L'ouvrage présente les différentes formes d'autopartage, en présentant certaines expérimentations, et propose un aperçu du déploiement de l'autopartage en Europe ainsi qu'une comparaison internationale des usages de services commerciaux. Il aborde les pratiques existantes en France, avant d'exposer dans une seconde partie les avantages de l'autopartage et les éléments permettant de le déployer sur un territoire :coûts, contractualisation, localisation du stationnement, recours aux véhicules électriques, organisation de l'intermodalité…
CEREMA - 2018-09-18