Le bilan 2013 montre une légère amélioration de la qualité de l’air par rapport à l’année précédente, poursuivant la tendance 2000-2013. Ainsi, les concentrations annuelles de dioxyde d’azote (NO2), des particules fines (PM10) et de monoxyde de carbone (CO) diminuent. Celles du dioxyde de soufre (SO2) restent faibles et sont stables.
Que nous dit ce rapport ?
1) Le pourcentage de sites de surveillance du territoire respectant les exigences de qualité de l’air pour les particules fines est passé de 90 % en 2012 à 95 % en 2013. 16 sites dépassent les seuils, ils sont principalement situés à proximité du trafic routier.
2) Le pourcentage d’agglomérations de plus de 100 000 habitants, où au moins un site de mesure dépasse la valeur limite annuelle en dioxyde d’azote, reste stable (32 % en 2013, contre 34 % en 2012).
3) En 2013, plusieurs épisodes de pollution ont été enregistrés :
un événement pour l’ozone et un pour le dioxyde d’azote ;
trois épisodes importants de pollution aux particules fines ;
aucun épisode important n’est constaté pour le dioxyde de soufre."
CGDD - Références - 2014-11-21
Rapport annuel de l’EEA sur la qualité de l’air en Europe
L’agence européenne de l’environnement (EEA) - 2014-11-19