Le Cerema publie des fiches de retours d’expériences d’emport de vélos dans des autocars de lignes de transport public régulier. Ces fiches mettent en avant les caractéristiques du système d’emport utilisé, son déploiement, son usage ainsi que les impacts de ce service proposé sur l’exploitation de ligne.
L’articulation entre vélo et transports collectifs est un levier fort permettant de proposer une alternative efficace à l’usage de la voiture. Ainsi, pour faciliter l’intermodalité entre vélo et transport collectif, la Loi d’orientation des Mobilités prévoit notamment la généralisation de l’emport des vélos dans les cars et trains (Code des Transports Articles L1272-5 et L1272-6).
Cette étude s’appuie notamment sur l’analyse de retours d’expérience d’emport de vélos sur certaines lignes d’autocars non urbaines, capitalisés au travers d’entretiens avec les exploitants et les autorités organisatrices de la mobilité des réseaux .
Ces retours d’expériences permettent de tirer certains enseignements :
Une diversité de systèmes d’emport a déjà été testée aujourd’hui par différents exploitants et AOM, permettant l’emport de vélos. Chacun des systèmes présentent des avantages et inconvénients, selon les usages et les caractéristiques de la ligne.
L’emport de vélos à bord des autocars répond majoritairement à une demande liée à des déplacements touristiques ou de loisirs. Cependant, sur certaines lignes, les systèmes d’emport sont aussi utilisés par des actifs pour leurs déplacements domicile-travail.
L’emport de vélos impacte l’exploitation des lignes concernées.
- Le déploiement de services d’emport de vélos pose également la question du rôle du conducteur.
- Le service est toujours gratuit pour l’usager. La réservation du service par l’usager est possible pour certaines lignes, souvent recommandée par les exploitants, et parfois obligatoire.
CEREMA >> Dossier complet
L’articulation entre vélo et transports collectifs est un levier fort permettant de proposer une alternative efficace à l’usage de la voiture. Ainsi, pour faciliter l’intermodalité entre vélo et transport collectif, la Loi d’orientation des Mobilités prévoit notamment la généralisation de l’emport des vélos dans les cars et trains (Code des Transports Articles L1272-5 et L1272-6).
Cette étude s’appuie notamment sur l’analyse de retours d’expérience d’emport de vélos sur certaines lignes d’autocars non urbaines, capitalisés au travers d’entretiens avec les exploitants et les autorités organisatrices de la mobilité des réseaux .
Ces retours d’expériences permettent de tirer certains enseignements :
Une diversité de systèmes d’emport a déjà été testée aujourd’hui par différents exploitants et AOM, permettant l’emport de vélos. Chacun des systèmes présentent des avantages et inconvénients, selon les usages et les caractéristiques de la ligne.
L’emport de vélos à bord des autocars répond majoritairement à une demande liée à des déplacements touristiques ou de loisirs. Cependant, sur certaines lignes, les systèmes d’emport sont aussi utilisés par des actifs pour leurs déplacements domicile-travail.
L’emport de vélos impacte l’exploitation des lignes concernées.
- Le déploiement de services d’emport de vélos pose également la question du rôle du conducteur.
- Le service est toujours gratuit pour l’usager. La réservation du service par l’usager est possible pour certaines lignes, souvent recommandée par les exploitants, et parfois obligatoire.
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