Ce Livre Blanc présente 26 propositions d’action aux acteurs publics pour mettre le potentiel de transformation du numérique au service de la transition écologique.
Forts de l’expérience d’acteurs pionniers agissant déjà au croisement des deux transitions - des investisseurs, start-up, grandes entreprises, collectivités, associations, chercheurs -, les auteurs du Livre Blanc proposent des pistes d’action pour réduire l’empreinte écologique du numérique, mieux concevoir les politiques environnementales, soutenir l’innovation numérique en faveur de l’écologie et mobiliser le potentiel des données.
Ce Livre Blanc n’entend pas faire la synthèse de toutes les propositions existantes, mais a vocation à lancer le débat sur les mesures les plus appropriées, à susciter des contre-propositions et des propositions complémentaires, à nourrir la réflexion des pouvoirs publics. Il a vocation à ouvrir un nouvel agenda politique : celui de la convergence des transitions numérique et écologique.
Parmi les mesures
- Généraliser l’affichage "durabilité" sur les équipements numériques (chantier 1, mesure 2)
- Rendre obligatoire l'éco-conception des services numériques publics et des grandes entreprises (chantier 1, mesure 6)
- Réserver une place, dans les programmes d’innovation numérique, à des projets innovants focalisés sur la production d’impacts écologiques "radicaux" (chantier 3, mesure 3)
- Créer des territoires d’expérimentations numériques et écologiques pour accueillir les innovateurs qui veulent collaborer avec les pouvoirs publics (chantier 3, mesure 4)
IDDRI - 2018-03-20
Forts de l’expérience d’acteurs pionniers agissant déjà au croisement des deux transitions - des investisseurs, start-up, grandes entreprises, collectivités, associations, chercheurs -, les auteurs du Livre Blanc proposent des pistes d’action pour réduire l’empreinte écologique du numérique, mieux concevoir les politiques environnementales, soutenir l’innovation numérique en faveur de l’écologie et mobiliser le potentiel des données.
Ce Livre Blanc n’entend pas faire la synthèse de toutes les propositions existantes, mais a vocation à lancer le débat sur les mesures les plus appropriées, à susciter des contre-propositions et des propositions complémentaires, à nourrir la réflexion des pouvoirs publics. Il a vocation à ouvrir un nouvel agenda politique : celui de la convergence des transitions numérique et écologique.
Parmi les mesures
- Généraliser l’affichage "durabilité" sur les équipements numériques (chantier 1, mesure 2)
- Rendre obligatoire l'éco-conception des services numériques publics et des grandes entreprises (chantier 1, mesure 6)
- Réserver une place, dans les programmes d’innovation numérique, à des projets innovants focalisés sur la production d’impacts écologiques "radicaux" (chantier 3, mesure 3)
- Créer des territoires d’expérimentations numériques et écologiques pour accueillir les innovateurs qui veulent collaborer avec les pouvoirs publics (chantier 3, mesure 4)
IDDRI - 2018-03-20