
Chaque mois, la direction générale des Finances publiques publie la situation des collectivités locales retraçant l'état des recettes, des dépenses, de l'épargne ou encore de la trésorerie des collectivités.
Les recettes réelles de fonctionnement de l’ensemble des collectivités locales sont en hausse au 31 août 2024 sur un an (+4,5 %, soit +6,1 Md€), liée notamment à la hausse des recettes fiscales (+2,9 %, soit +2,7 Md€).
Les dépenses réelles de fonctionnement des collectivités augmentent (+6 %, soit +7,3 Md€), notamment sous l’impulsion
- des frais de personnel (+5,7 %, soit +2,7 Md€),
- des achats et charges externes (+11,9 %, soit +2,4 Md€),
- des subventions (+2,8 %, soit +0,3 Md€)
- des charges financières (+24,2 %, soit +0,3 Md€),
ainsi que des frais de séjour (+10,2 %, soit +0,9 Md€) et des aides à la personne (+3,6 %, soit +0,5 Md€) versés par les départements et les collectivités territoriales uniques (CTU) d’outre-mer.
Les dépenses d’investissement augmentent pour toutes les strates de collectivités : +22,4 % pour les régions, +10,1 % pour le bloc communal et +1,6 % pour les départements.
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Attention - Cette évolution infra-annuelle doit être appréhendée avec précaution car elle est impactée, d’une part, par le rythme d'encaissement par les collectivités de leurs recettes (y compris versements de l’État, notamment la dotation globale de fonctionnement (DGF)) et, d’autre part, par le rythme d'inscription en comptabilité de ces versements. Ces pratiques des collectivités peuvent varier d’une année sur l’autre, de même que la date de certains versements importants.
DGFIP L'étude .
Cliquez ici pour télécharger les données (XLSL) .
Les recettes réelles de fonctionnement de l’ensemble des collectivités locales sont en hausse au 31 août 2024 sur un an (+4,5 %, soit +6,1 Md€), liée notamment à la hausse des recettes fiscales (+2,9 %, soit +2,7 Md€).
Les dépenses réelles de fonctionnement des collectivités augmentent (+6 %, soit +7,3 Md€), notamment sous l’impulsion
- des frais de personnel (+5,7 %, soit +2,7 Md€),
- des achats et charges externes (+11,9 %, soit +2,4 Md€),
- des subventions (+2,8 %, soit +0,3 Md€)
- des charges financières (+24,2 %, soit +0,3 Md€),
ainsi que des frais de séjour (+10,2 %, soit +0,9 Md€) et des aides à la personne (+3,6 %, soit +0,5 Md€) versés par les départements et les collectivités territoriales uniques (CTU) d’outre-mer.
Les dépenses d’investissement augmentent pour toutes les strates de collectivités : +22,4 % pour les régions, +10,1 % pour le bloc communal et +1,6 % pour les départements.
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Attention - Cette évolution infra-annuelle doit être appréhendée avec précaution car elle est impactée, d’une part, par le rythme d'encaissement par les collectivités de leurs recettes (y compris versements de l’État, notamment la dotation globale de fonctionnement (DGF)) et, d’autre part, par le rythme d'inscription en comptabilité de ces versements. Ces pratiques des collectivités peuvent varier d’une année sur l’autre, de même que la date de certains versements importants.
DGFIP L'étude .
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