La présence de zones d’anciennes carrières souterraines est liée à la richesse en matériaux de construction du sous-sol francilien. L’intense exploitation, qui dura plusieurs siècles, nous a légué des vides très importants qui s‘inscrivent à des profondeurs sous la surface de quelques mètres à quelques dizaines de mètres.
La connaissance fine des zones sous-minées en Île-de-France s’appuie sur les travaux des services spécialisés des Inspections générales des carrières (IGC) de Paris pour les départements de la petite couronne et de Versailles pour les départements des Yvelines, du Val-d’Oise et de l’Essonne qui assurent un très important travail d’études, de contrôle et de cartographie des zones sous-minées.
En revanche, dans le département de la Seine-et-Marne, et en l’absence d’un service d’études spécialisé équivalent aux IGC, la connaissance de l’aléa reste très partielle alors que ce département concentre près d’un tiers des communes potentiellement concernées ; des études sont aujourd’hui engagées, mais une connaissance fine, équivalente à celles des autres départements, nécessitera certainement, au regard des moyens actuels, plusieurs dizaines d’années.
Sommaire
- Un taux élevé d’urbanisation des zones sous-minées dans l’agglomération centrale
- Une gestion des risques liés aux zones sous-minées qui s’appuie sur les Plans de prévention des risques mouvement de terrain (PPRMT)
- Enjeux et opportunités d’aménagement
Source - Institut Paris Région
La connaissance fine des zones sous-minées en Île-de-France s’appuie sur les travaux des services spécialisés des Inspections générales des carrières (IGC) de Paris pour les départements de la petite couronne et de Versailles pour les départements des Yvelines, du Val-d’Oise et de l’Essonne qui assurent un très important travail d’études, de contrôle et de cartographie des zones sous-minées.
En revanche, dans le département de la Seine-et-Marne, et en l’absence d’un service d’études spécialisé équivalent aux IGC, la connaissance de l’aléa reste très partielle alors que ce département concentre près d’un tiers des communes potentiellement concernées ; des études sont aujourd’hui engagées, mais une connaissance fine, équivalente à celles des autres départements, nécessitera certainement, au regard des moyens actuels, plusieurs dizaines d’années.
Sommaire
- Un taux élevé d’urbanisation des zones sous-minées dans l’agglomération centrale
- Une gestion des risques liés aux zones sous-minées qui s’appuie sur les Plans de prévention des risques mouvement de terrain (PPRMT)
- Enjeux et opportunités d’aménagement
Source - Institut Paris Région