Début 2020, la pandémie de Covid‑19 et les mesures de restriction prises pour l’endiguer ont provoqué un choc inédit sur l’activité des entreprises françaises. L’activité a été très ralentie pendant le premier confinement dans tous les secteurs, avec des chocs d’ampleur variable selon les secteurs. Au contraire, lors du deuxième confinement, seuls certains secteurs ont subi de nouvelles pertes après une reprise modérée pendant l’été.
En 2020, le secteur à son niveau le plus fin explique jusqu’à 48 % de la variance des chocs d’activité mensuels observés, contre une part presque nulle en temps normal. La diversité des chocs au sein des secteurs reste cependant importante.
Quatre trajectoires‑types se distinguent selon les pertes d’activité subies au mois le mois par les entreprises, illustrant les différents niveaux de résilience des entreprises face à la crise. Le secteur d’activité est le facteur principal expliquant l’appartenance aux profils‑types. À secteur égal, le profil de trajectoire est également corrélé à la capacité d’adaptation organisationnelle et productive dont l’entreprise a fait preuve pendant la crise.
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En 2020, le secteur à son niveau le plus fin explique jusqu’à 48 % de la variance des chocs d’activité mensuels observés, contre une part presque nulle en temps normal. La diversité des chocs au sein des secteurs reste cependant importante.
Quatre trajectoires‑types se distinguent selon les pertes d’activité subies au mois le mois par les entreprises, illustrant les différents niveaux de résilience des entreprises face à la crise. Le secteur d’activité est le facteur principal expliquant l’appartenance aux profils‑types. À secteur égal, le profil de trajectoire est également corrélé à la capacité d’adaptation organisationnelle et productive dont l’entreprise a fait preuve pendant la crise.
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