En moyenne, 16 % de la population rapporte avoir été témoin d’une atteinte aux droits de l’enfant dans les cinq dernières années. Parmi les personnes qui citent au moins un droit de l’enfant, cette proportion s’élève à 22 %.
Les situations de maltraitance (physique, verbale, psychologique et/ou sexuelle) sont les plus fréquemment rapportées. En moyenne, une personne sur 10 déclare avoir été témoin d’une situation de maltraitance dans les cinq dernières années.
Face à une atteinte aux droits de l’enfant, une personne sur deux entame des démarches pour faire reconnaître cette situation.
Plus les atteintes aux droits de l’enfant sont fréquentes, moins les alertes sont importantes.
Le fait de citer au moins un droit de l’enfant double la probabilité d’entamer des démarches pour faire reconnaître la situation d’atteinte aux droits d’un enfant.
Quelle que soit l’atteinte aux droits de l’enfant rapportée, l’école constitue le principal interlocuteur pour les personnes souhaitant faire reconnaître cette situation.
Les personnes qui n’entament pas de démarches suite au constat d’une atteinte aux droits d’un enfant évoquent le manque de preuves comme frein à leur action (53 %) mais aussi l’idée que "ça ne les regarde pas" (41 %).
Défenseur des droits - 2017-05-29
Les situations de maltraitance (physique, verbale, psychologique et/ou sexuelle) sont les plus fréquemment rapportées. En moyenne, une personne sur 10 déclare avoir été témoin d’une situation de maltraitance dans les cinq dernières années.
Face à une atteinte aux droits de l’enfant, une personne sur deux entame des démarches pour faire reconnaître cette situation.
Plus les atteintes aux droits de l’enfant sont fréquentes, moins les alertes sont importantes.
Le fait de citer au moins un droit de l’enfant double la probabilité d’entamer des démarches pour faire reconnaître la situation d’atteinte aux droits d’un enfant.
Quelle que soit l’atteinte aux droits de l’enfant rapportée, l’école constitue le principal interlocuteur pour les personnes souhaitant faire reconnaître cette situation.
Les personnes qui n’entament pas de démarches suite au constat d’une atteinte aux droits d’un enfant évoquent le manque de preuves comme frein à leur action (53 %) mais aussi l’idée que "ça ne les regarde pas" (41 %).
Défenseur des droits - 2017-05-29
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