L’opposition initialement perçue entre achats responsables et réduction des coûts commence à disparaître. Il faut maintenant aller plus loin sur les indicateurs de mesure et sur la mise en œuvre de véritables achats en coût global.
Ce baromètre 2016 confirme la progression de cette "bonne pratique" désormais bien ancrée chez les acheteurs :
- 81 % ont "une bonne connaissance du sujet" (+ 6 points sur 2015)
- 42 % la déclarent même "prioritaire" (+ 9 points).
L’autre priorité déclarée des politiques d’achat reste, sans surprise, la réduction des coûts, qui n’apparait désormais plus comme alternative et encore moins incompatible avec les achats responsables. Le principal frein à cette politique vertueuse n’est d’ailleurs plus le frein budgétaire (moins 10 points, à 41 %), mais celui du manque d’indicateurs et de référentiels clairs (45 %). Le travail de l’ObsAR en vue de la mise au point de la norme internationale "sustainable procurement" (la future ISO 20400) trouve là sa pleine justification.
La tonalité générale est donnée par les motivations déclarées d’une politique d’achats responsables : désormais plus orientée "analyse des risques et des opportunités de création de valeur", elle répond moins à la recherche d’image et de respect des contraintes environnementales et sociales, déjà intégrées pour l’essentiel. Les achats responsables sont devenus partie intégrante du business.
OpinionWay/ObsAR - Téléchargez les principaux résultats (ouverts à tous) - 2016-02-10
http://www.obsar.asso.fr/public/812/telechargement/extrait-barometre-obsar-2016-3.pdf
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OpinionWay/ObsAR - 2016-02-10
Ce baromètre 2016 confirme la progression de cette "bonne pratique" désormais bien ancrée chez les acheteurs :
- 81 % ont "une bonne connaissance du sujet" (+ 6 points sur 2015)
- 42 % la déclarent même "prioritaire" (+ 9 points).
L’autre priorité déclarée des politiques d’achat reste, sans surprise, la réduction des coûts, qui n’apparait désormais plus comme alternative et encore moins incompatible avec les achats responsables. Le principal frein à cette politique vertueuse n’est d’ailleurs plus le frein budgétaire (moins 10 points, à 41 %), mais celui du manque d’indicateurs et de référentiels clairs (45 %). Le travail de l’ObsAR en vue de la mise au point de la norme internationale "sustainable procurement" (la future ISO 20400) trouve là sa pleine justification.
La tonalité générale est donnée par les motivations déclarées d’une politique d’achats responsables : désormais plus orientée "analyse des risques et des opportunités de création de valeur", elle répond moins à la recherche d’image et de respect des contraintes environnementales et sociales, déjà intégrées pour l’essentiel. Les achats responsables sont devenus partie intégrante du business.
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