S’articulant autour de 10 propositions, ce second rapport est une feuille de route de structuration du projet, s’agissant aussi bien de son développement économique que de son financement.
Selon le rapporteur, ce projet apportera :
- Compétitivité à nos ports maritimes, en assurant un développement complémentaire ferroviaire et fluvial pour renforcer la liaison avec leur hinterland,
- Compétitivité aux entreprises par une baisse du coût du transport,
- Contributeur à la transition énergétique, en permettant le report modal vers un mode écologique (une péniche de 1500 à 3000 tonnes émet 3 fois moins de CO2 qu’un camion).
Deux éléments de l’actualité lors de la mission renforcent l’intérêt du projet :
- La confirmation d’un développement important des zones d’entrepôts logistiques dans la moitié Nord de la France. Cette partie du territoire dispose de 13 millions de m² d’entrepôts de plus de 5000m², près de 20% du territoire national. La croissance est continue : +4% de 2011 à 2014 malgré la crise économique. L’e-commerce renforce ce dynamisme. Ainsi, Amazon a ouvert près de 100000m² d’entrepôts près de Douai en 2014. A Cambrai, sur l’ancienne base aérienne 103, un autre projet lié à l’e-commerce envisage jusqu’à 600000m² d’entrepôts. Aujourd’hui, ces projets ne sont reliés qu’au mode routier.
- Les pics de pollution constatés dans les agglomérations montrent la nécessité de penser un nouveau mode d’approvisionnement de nos centres urbains. A ce titre les initiatives de Franprix sur Paris, ou du Port de Lille avec un centre de mutualisation urbaine de distribution par la voie fluviale sont remarquables. Ces expériences consistent à desservir par la voie d’eau le centre ville, puis éclatement par des véhicules de petite taille électriques…
Le Secrétaire d’Etat examinera ces propositions dans les semaines à venir, afin d’arrêter les grandes orientations futures
MEDDE - 2015-05-06
Selon le rapporteur, ce projet apportera :
- Compétitivité à nos ports maritimes, en assurant un développement complémentaire ferroviaire et fluvial pour renforcer la liaison avec leur hinterland,
- Compétitivité aux entreprises par une baisse du coût du transport,
- Contributeur à la transition énergétique, en permettant le report modal vers un mode écologique (une péniche de 1500 à 3000 tonnes émet 3 fois moins de CO2 qu’un camion).
Deux éléments de l’actualité lors de la mission renforcent l’intérêt du projet :
- La confirmation d’un développement important des zones d’entrepôts logistiques dans la moitié Nord de la France. Cette partie du territoire dispose de 13 millions de m² d’entrepôts de plus de 5000m², près de 20% du territoire national. La croissance est continue : +4% de 2011 à 2014 malgré la crise économique. L’e-commerce renforce ce dynamisme. Ainsi, Amazon a ouvert près de 100000m² d’entrepôts près de Douai en 2014. A Cambrai, sur l’ancienne base aérienne 103, un autre projet lié à l’e-commerce envisage jusqu’à 600000m² d’entrepôts. Aujourd’hui, ces projets ne sont reliés qu’au mode routier.
- Les pics de pollution constatés dans les agglomérations montrent la nécessité de penser un nouveau mode d’approvisionnement de nos centres urbains. A ce titre les initiatives de Franprix sur Paris, ou du Port de Lille avec un centre de mutualisation urbaine de distribution par la voie fluviale sont remarquables. Ces expériences consistent à desservir par la voie d’eau le centre ville, puis éclatement par des véhicules de petite taille électriques…
Le Secrétaire d’Etat examinera ces propositions dans les semaines à venir, afin d’arrêter les grandes orientations futures
MEDDE - 2015-05-06