Les réseaux sociaux constituent aujourd’hui un espace public majeur, mais de nature uniquement privée, ayant acquis un poids économique et de masse considérable.
Alors que leur création avait représenté de grands espoirs en termes de partage et d’ouverture, la période actuelle met en évidence les effets pervers découlant d’algorithmes enfermant les utilisateurs dans un cercle restreint de contenus, une forte diffusion de contenus toxiques (désinformation, appels à la haine), au sein de cet ensemble organisé selon une pure logique de rentabilité.
C’est tout l’enjeu des débats et des mesures déjà engagées par les pouvoirs publics que de viser un équilibre entre liberté d’expression et lutte contre les contenus illicites ou indésirables.
Le rapport établi par le groupe de travail du CHEC met en perspective ces différents éléments, revenant sur le poids économique majeur de ces acteurs ainsi que sur les dérives et effets pervers. Il dresse aussi le constat des apports des réseaux dans les actions de diffusion et d’élargissement des publics qu’ont su mener des institutions culturelles.
Partant de ces éléments il présente les mesures de régulation déjà mises en place ainsi que d'autres possibles et urgentes.
Consultez le rapport du groupe et sa synthèse :
- Synthèse du Groupe 3 de la Session 23-24 du CHEC - Réseaux sociaux, autant d'espaces publics pour la culture.pdf
- Réseaux sociaux : autant d’espaces publics pour la culture et l’information ?
Source - Ministère de la culture
Alors que leur création avait représenté de grands espoirs en termes de partage et d’ouverture, la période actuelle met en évidence les effets pervers découlant d’algorithmes enfermant les utilisateurs dans un cercle restreint de contenus, une forte diffusion de contenus toxiques (désinformation, appels à la haine), au sein de cet ensemble organisé selon une pure logique de rentabilité.
C’est tout l’enjeu des débats et des mesures déjà engagées par les pouvoirs publics que de viser un équilibre entre liberté d’expression et lutte contre les contenus illicites ou indésirables.
Le rapport établi par le groupe de travail du CHEC met en perspective ces différents éléments, revenant sur le poids économique majeur de ces acteurs ainsi que sur les dérives et effets pervers. Il dresse aussi le constat des apports des réseaux dans les actions de diffusion et d’élargissement des publics qu’ont su mener des institutions culturelles.
Partant de ces éléments il présente les mesures de régulation déjà mises en place ainsi que d'autres possibles et urgentes.
Consultez le rapport du groupe et sa synthèse :
- Synthèse du Groupe 3 de la Session 23-24 du CHEC - Réseaux sociaux, autant d'espaces publics pour la culture.pdf
- Réseaux sociaux : autant d’espaces publics pour la culture et l’information ?
Source - Ministère de la culture