En 2019, dans le cadre de la mise en œuvre du 3e Plan Régional Santé Environnement en Grand Est, le Cerema a mené une action expérimentale de sensibilisation des différents acteurs de la qualité de l'air dans trois collèges vosgiens...
Pourquoi s'intéresser aux collèges?
La qualité de l’air à l’intérieur d'un établissement scolaire a un impact sur la qualité de concentration, le taux d’absentéisme dans les écoles et le bien-être des élèves. Une mauvaise qualité de l’air peut favoriser l’émergence de symptômes tels que maux de tête, fatigue, irritation des yeux, des voies respiratoires et de la peau ainsi que des manifestations allergiques, de l’asthme, voire des cancers.
Les enfants représentent un public sensible, plus vulnérable face aux polluants et dont une part importante souffre d’allergies et de problèmes respiratoires divers (L’enquête décennale santé effectuée en 2003 par l’INSEE montre, chez les enfants âgés de 11-14 ans, une prévalence de l’asthme vie entière de 12,7 %).
Dans ce contexte, l’Etat a mis en œuvre des actions pour améliorer la qualité de l’air intérieur dans les établissements recevant du public. Il s’agit notamment de l’obligation réglementaire d'évaluer les moyens d'aération et, au choix, de réaliser des mesures de polluants ou de mettre en oeuvre un plan d'action favorable à la qualité de l'air dans les établissements d’enseignement du second degré avant le 1er janvier 2020.
Il est donc important de sensibiliser les différentes catégories d’occupants ou d’intervenants de ces établissements
Au sommaire
Une étude action dans trois collèges pilotes
Sensibiliser le public: quels enseignements ?
CEREMA - Communiqué complet - 2019-10-08
Pourquoi s'intéresser aux collèges?
La qualité de l’air à l’intérieur d'un établissement scolaire a un impact sur la qualité de concentration, le taux d’absentéisme dans les écoles et le bien-être des élèves. Une mauvaise qualité de l’air peut favoriser l’émergence de symptômes tels que maux de tête, fatigue, irritation des yeux, des voies respiratoires et de la peau ainsi que des manifestations allergiques, de l’asthme, voire des cancers.
Les enfants représentent un public sensible, plus vulnérable face aux polluants et dont une part importante souffre d’allergies et de problèmes respiratoires divers (L’enquête décennale santé effectuée en 2003 par l’INSEE montre, chez les enfants âgés de 11-14 ans, une prévalence de l’asthme vie entière de 12,7 %).
Dans ce contexte, l’Etat a mis en œuvre des actions pour améliorer la qualité de l’air intérieur dans les établissements recevant du public. Il s’agit notamment de l’obligation réglementaire d'évaluer les moyens d'aération et, au choix, de réaliser des mesures de polluants ou de mettre en oeuvre un plan d'action favorable à la qualité de l'air dans les établissements d’enseignement du second degré avant le 1er janvier 2020.
Il est donc important de sensibiliser les différentes catégories d’occupants ou d’intervenants de ces établissements
Au sommaire
Une étude action dans trois collèges pilotes
Sensibiliser le public: quels enseignements ?
CEREMA - Communiqué complet - 2019-10-08