
Des milliers d'animaux meurent chaque année percutés par un véhicule. Afin de mieux gérer ces collisions, il est important de connaitre le nombre d’animaux tués et de localiser les endroits où le risque est le plus élevé.
En partenariat avec l’Unité Mixte de Service Patrimoine Naturel, le Cerema a mené une étude comparative sur les méthodologies de comptage afin d’en évaluer l’efficacité. Saluée par la communauté scientifique, cette étude débouche aujourd’hui sur une version améliorée du protocole de comptage des collisions.
Qui recense les animaux morts sur les routes ?
A titre d’exemple, 37 000 chouettes effraies sont tuées chaque année sur les 11 000 kilomètres d’autoroutes françaises.
Aujourd’hui, ce sont les patrouilleurs chargés de l’entretien des routes qui recensent pendant leur activité le nombre d’animaux morts sur les routes. Ce type de méthode est employée couramment partout dans le monde et présente l’avantage d’un relevé quotidien.
Si la méthode parait fiable pour la grande faune (sangliers, cervidés), pour la petite et moyenne faune, cela parait moins évident car plus difficile.
Mais, comment être sûr que ce comptage est fiable? Est-ce la bonne méthode?
Au sommaire
- Une étude comparative pour améliorer la méthode de comptage
- Des résultats salués par la communauté scientifique
CEREMA - Synthèse complète - 2019- 07-15
En partenariat avec l’Unité Mixte de Service Patrimoine Naturel, le Cerema a mené une étude comparative sur les méthodologies de comptage afin d’en évaluer l’efficacité. Saluée par la communauté scientifique, cette étude débouche aujourd’hui sur une version améliorée du protocole de comptage des collisions.
Qui recense les animaux morts sur les routes ?
A titre d’exemple, 37 000 chouettes effraies sont tuées chaque année sur les 11 000 kilomètres d’autoroutes françaises.
Aujourd’hui, ce sont les patrouilleurs chargés de l’entretien des routes qui recensent pendant leur activité le nombre d’animaux morts sur les routes. Ce type de méthode est employée couramment partout dans le monde et présente l’avantage d’un relevé quotidien.
Si la méthode parait fiable pour la grande faune (sangliers, cervidés), pour la petite et moyenne faune, cela parait moins évident car plus difficile.
Mais, comment être sûr que ce comptage est fiable? Est-ce la bonne méthode?
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- Des résultats salués par la communauté scientifique
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