Les soutiens pour les cantines scolaires des petites collectivités territoriales souhaitant développer leur approvisionnement en produits sains, durables et locaux sont désormais disponibles à hauteur de 50 millions d’euros.
Nombreuses sont les cantines qui souhaitent s’approvisionner en produits frais, réduire le gaspillage ou encore supprimer les contenants en plastique. S’engager dans cette transition demande un investissement initial important, particulièrement pour les petites communes.
Le plan France Relance vient donc en soutien de ces cantines scolaires pour lancer la dynamique, en permettant de financer :
- l’achat d’équipement et de matériel nécessaires à la cuisine, la transformation de produits frais (éplucheuse, essoreuse, robot coupe-légumes, robot de préparation…), ou à la conservation (armoire frigorifique, table de tri, salade bar, bar à crudités et à salade de fruits…) ;
- des investissements immatériels (logiciels, supports de communication électronique…) ;
- des prestations intellectuelles (audits, études, formations du personnel de cuisine…).
L’aide s’adresse aux communes les plus fragiles éligibles à la fraction cible de la dotation de solidarité rurale (DSR) en 2020, ou à leurs établissements publics de coopération intercommunale (EPCI), ainsi qu’à l’ensemble des communes de Guadeloupe, Guyane, Martinique, Mayotte et La Réunion (et leurs EPCI). In fine, ce sont près de 11.000 communes qui sont concernées.
Le dispositif permettant de solliciter les aides vient d’ouvrir sur le site internet de l’Agence de service et de paiements : https://www.asp-public.fr/france-relance-soutien-de-certaines-cantines-scolaires
Pour bénéficier de cette aide, les collectivités doivent satisfaire aux conditions d’éligibilité et adresser un dossier de demande à l’agence de service et de paiement (ASP), chargée de l’instruction des dossiers et du financement des dossiers retenus.
Source >> Ministère de l’Agriculture
Nombreuses sont les cantines qui souhaitent s’approvisionner en produits frais, réduire le gaspillage ou encore supprimer les contenants en plastique. S’engager dans cette transition demande un investissement initial important, particulièrement pour les petites communes.
Le plan France Relance vient donc en soutien de ces cantines scolaires pour lancer la dynamique, en permettant de financer :
- l’achat d’équipement et de matériel nécessaires à la cuisine, la transformation de produits frais (éplucheuse, essoreuse, robot coupe-légumes, robot de préparation…), ou à la conservation (armoire frigorifique, table de tri, salade bar, bar à crudités et à salade de fruits…) ;
- des investissements immatériels (logiciels, supports de communication électronique…) ;
- des prestations intellectuelles (audits, études, formations du personnel de cuisine…).
L’aide s’adresse aux communes les plus fragiles éligibles à la fraction cible de la dotation de solidarité rurale (DSR) en 2020, ou à leurs établissements publics de coopération intercommunale (EPCI), ainsi qu’à l’ensemble des communes de Guadeloupe, Guyane, Martinique, Mayotte et La Réunion (et leurs EPCI). In fine, ce sont près de 11.000 communes qui sont concernées.
Le dispositif permettant de solliciter les aides vient d’ouvrir sur le site internet de l’Agence de service et de paiements : https://www.asp-public.fr/france-relance-soutien-de-certaines-cantines-scolaires
Pour bénéficier de cette aide, les collectivités doivent satisfaire aux conditions d’éligibilité et adresser un dossier de demande à l’agence de service et de paiement (ASP), chargée de l’instruction des dossiers et du financement des dossiers retenus.
Source >> Ministère de l’Agriculture
Dans la même rubrique
-
RM - Allongement du délai de remboursement de la tarification sociale des cantines
-
RM - Réautorisation des contenants plastiques dans la restauration scolaire
-
RM - Réglementation sanitaire et vente en circuit court
-
Actu - Publication de l’avis du CNLE sur la Stratégie nationale pour l’alimentation, la nutrition et le climat
-
Doc - Gaspillage alimentaire dans les transports de voyageurs ferroviaires, fluviaux et maritimes : l’ADEME publie une étude inédite qui met en lumière des solutions concrètes