
71% des sondés vivent en Ile-de-France par choix et non par contrainte et 85% en sont satisfaits. "Ces premiers chiffres sont rassurants pour l’attractivité de l’Ile-de-France mais ils appellent toutefois un peu de nuance" tempère Virginie Houzé, Directeur Etudes et Recherche France de JLL. "En effet, pour la majorité des franciliens, le choix de vivre en Ile-de-France est d’abord lié à un ancrage familial historique (38% ont toujours vécu dans la région) ou un choix professionnel (28% des sondés). La motivation personnelle à vivre dans une métropole comme le Grand Paris, ne représente que 19% des réponses".
Cette notion de choix est très variable selon les générations et les lieux de vie : les plus jeunes et les plus âgés ainsi que les parisiens, expriment plus nettement cette dimension choisie que les classes d’âges intermédiaires, les familles ou les habitants de la périphérie. Cet écart entre les différentes couches de la population se retrouve dans le niveau de satisfaction exprimé. "Le niveau de satisfaction moyen est juste au-dessus de la moyenne avec une note de 6,7 sur 10." commente Virginie Houzé. "De nouveau on trouve des écarts entre les différentes parties de la population. Cela doit nous alerter puisque les catégories les moins satisfaites se situent par exemple au sein des familles et des 35-49 ans - qui constituent une part importante des effectifs en emploi et des consommateurs de la région."
D’ailleurs, il est un chiffre qui ne ment pas : quand on pose la question sur ce qui pourrait les inciter à déménager, le 1er motif évoqué par les sondés est "Quitter l’Ile-de-France" à hauteur de 36% des réponses et de 47% chez les familles.
Au sommaire
- Les nouveaux concepts résidentiels
- Les nouveaux modes de propriété
- Les zones géographiques privilégiées
CSA - Etude complète - 2019-10-18
Cette notion de choix est très variable selon les générations et les lieux de vie : les plus jeunes et les plus âgés ainsi que les parisiens, expriment plus nettement cette dimension choisie que les classes d’âges intermédiaires, les familles ou les habitants de la périphérie. Cet écart entre les différentes couches de la population se retrouve dans le niveau de satisfaction exprimé. "Le niveau de satisfaction moyen est juste au-dessus de la moyenne avec une note de 6,7 sur 10." commente Virginie Houzé. "De nouveau on trouve des écarts entre les différentes parties de la population. Cela doit nous alerter puisque les catégories les moins satisfaites se situent par exemple au sein des familles et des 35-49 ans - qui constituent une part importante des effectifs en emploi et des consommateurs de la région."
D’ailleurs, il est un chiffre qui ne ment pas : quand on pose la question sur ce qui pourrait les inciter à déménager, le 1er motif évoqué par les sondés est "Quitter l’Ile-de-France" à hauteur de 36% des réponses et de 47% chez les familles.
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