
Les villes et régions se félicitent du vote du Parlement européen sur le futur fonds européen "Asile, migration et intégration" (AMIF) pour la période 2021-2027. Tel que repris dans le rapport, le budget de l'AMIF pour la prochaine période de programmation sera de 10 milliards d'euros, soit une augmentation de 50%.
Ce vote est une victoire pour les collectivités puisqu’il réserve au moins 5% d'une partie du budget de l'AMIF pour les territoires locaux. De plus, le vote du Parlement établit également que les gouvernements centraux devraient collaborer avec les collectivités dans la définition de stratégies nationales et la dépense des ressources en matière de migration.
Aujourd’hui, les villes et les régions européennes s’expriment d’une seule voix pour demander au Conseil et à la Commission de soutenir la décision du Parlement.
Relever le défi de la migration dans les villes et les régions : voici ce que le Parlement soutient
Au-delà de la lutte générale contre le sous-financement et l’affranchissement des pouvoirs locaux, les demandes spécifiques des villes et des régions soutenues par le Parlement peuvent être résumées en cinq points :
- Reconnaître le rôle que jouent les collectivités et les associations qui les représentent dans l’inclusion des migrants et renforcer le principe de partenariat, notamment en ce qui concerne la partie du fonds gérée par les États membres dans la conception et le suivi des programmes de travail.
- Garantir un accès direct à l'aide d'urgence pour les collectivités.
- Réserver au moins 30 millions d’euros par an aux collectivités par le biais d’un mécanisme complémentaire.
- Renforcer la portée des actions (stratégies, infrastructures, renforcement des capacités, etc.) auxquelles les gouvernements locaux auront accès dans l'AMIF, telles que le logement ou l'inclusion économique et sociale.
- Un taux de cofinancement plus élevé pour les activités mises en œuvre par les gouvernements locaux et régionaux.
CCRE - 2019-03-14
Ce vote est une victoire pour les collectivités puisqu’il réserve au moins 5% d'une partie du budget de l'AMIF pour les territoires locaux. De plus, le vote du Parlement établit également que les gouvernements centraux devraient collaborer avec les collectivités dans la définition de stratégies nationales et la dépense des ressources en matière de migration.
Aujourd’hui, les villes et les régions européennes s’expriment d’une seule voix pour demander au Conseil et à la Commission de soutenir la décision du Parlement.
Relever le défi de la migration dans les villes et les régions : voici ce que le Parlement soutient
Au-delà de la lutte générale contre le sous-financement et l’affranchissement des pouvoirs locaux, les demandes spécifiques des villes et des régions soutenues par le Parlement peuvent être résumées en cinq points :
- Reconnaître le rôle que jouent les collectivités et les associations qui les représentent dans l’inclusion des migrants et renforcer le principe de partenariat, notamment en ce qui concerne la partie du fonds gérée par les États membres dans la conception et le suivi des programmes de travail.
- Garantir un accès direct à l'aide d'urgence pour les collectivités.
- Réserver au moins 30 millions d’euros par an aux collectivités par le biais d’un mécanisme complémentaire.
- Renforcer la portée des actions (stratégies, infrastructures, renforcement des capacités, etc.) auxquelles les gouvernements locaux auront accès dans l'AMIF, telles que le logement ou l'inclusion économique et sociale.
- Un taux de cofinancement plus élevé pour les activités mises en œuvre par les gouvernements locaux et régionaux.
CCRE - 2019-03-14
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