Sécurité locale - Police municipale

Juris - Audiosurveillance algorithmique: la CNIL donne raison à La Quadrature du Net sur l’illégalité du dispositif

Article ID.CiTé du 09/10/2023



En 2021, La Quadrature du Net avait attaqué  un dispositif d’audiosurveillance algorithmique déployé à Orléans dans le cadre d’une convention avec l’entreprise de surveillance Sensivic. Cette semaine, la CNIL vient de donner raison  à La Quadrature du Net en soulignant l’illégalité de ce dispositif technopolicier.
En 2021, la ville d’Orléans concluait avec une startup locale, Sensivic, un contrat pour expérimenter une nouvelle forme de surveillance policière de l’espace public : l’audiosurveillance algorithmique (ASA). Comme ce qui avait été tenté à Saint-Étiennele projet consistait à déployer des « détecteurs de sons anormaux » (c’est-à-dire des « mouchards ») sur des caméras de surveillance.

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Pas d’oreilles pour les caméras
La CNIL relègue l’ASA au rang de technologie inutilisable

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